retrospective-classement-dceu-films
Avec la sortie d'Aquaman et le Royaume Perdu, le DC Extended Universe a pris fin après 10 ans de mauvais et déloyaux services. Annoncé à la va-vite, préparé et écrit à la va-vite, l'univers DC n'a jamais su égaler le miracle Marvel et son MCU. Désormais, c'est vers un reboot total chapeauté par James Gunn que nous nous dirigeons. Sera-t-il mieux ? En tout cas, il peut difficilement être pire... Malgré tout, quelques films valent le coup d'œil. Lesquels ?
En 2007, Nadine Labaki nous faisait découvrir Caramel. Tourné en un mois et demi, le long-métrage nous emmène dans le monde des femmes du Beyrouth des années 2000. Un univers à la fois sensuel et écrasé par le poids des traditions d'un Liban à deux vitesses. Il nous est montré par le biais d'un salon de beauté : coiffure, maquillage et, bien sûr, épilation au caramel nous servent de prétextes à découvrir le quotidien de ces femmes d'Orient. 
le-portier-de-nuit-liliana-cavani-dirk-bogarde-charlotte-rampling-1974
En 1974, le sulfureux Portier de nuit marque, bien malgré lui, la naissance d’un des sous-genres les plus nauséabonds du cinéma bis italien. Cette histoire d’un ex-officier SS et d’une ancienne déportée renouant le fil d’une relation sadomasochiste née au sein d’un camp de concentration, ne manqua évidemment pas d’attiser le scandale. Elle est l’œuvre d’une femme engagée, Liliana Cavani. Retour sur une œuvre devenue culte.
naissance-des-pieuvres-celine-sciamma-realisatrice
Naissance des pieuvres marque en 2007 les premiers pas de Céline Sciamma en tant que réalisatrice. Après un court métrage, elle propose ce film d'adolescentes, de désir et de construction de soi. Un film tout simple mais plein d'enjeux qui dessinent le destin d'une réalisatrice passionnée et engagée à travers des fictions qui font grandir. Analyse dans le cadre de notre rétrospective consacré aux réalisatrices du monde entier !
les-diaboliques-henri-georges-clouzot-film-critique-simone-signoret-vera-clouzot
Les Diaboliques de Henri-Georges Clouzot, dont la réputation ombrageuse n’est plus à faire, aura été une souffrance pour Simone Signoret qui a dû subir la médiocrité de Véra Clouzot, sa partenaire et amie à qui elle n’adresse plus la parole, et ses conséquences sur le tournage. Et pourtant, son interprétation n’en souffre pas, et elle contribue grandement au succès du film, un très bon thriller psychologique.