Avant que le Festival de Cannes 2019 ne déroule son tapis rouge, Le Magduciné vous propose de revenir en avril sur quelques unes des plus prestigieuses Palmes d’or. L'occasion de s'intéresser aujourd'hui à Apocalypse Now, l’œuvre maudite mais somme toute magnifique de Francis Ford Coppola.
Les mieux notés
Rétrospectives
A l’image de Marty McFly et Doc, on prend la Dolorean et on revient sur la filmographie d’un réalisateur, l’intégralité d’une franchise ou les films d’un studio.
Alors que le Festival de Cannes 2019 va bientôt ouvrir ses portes dans quelques semaines, Le Magduciné a décidé durant le mois d'avril de mettre en avant les Palmes d'Or qui ont le plus marqué ses rédacteurs. Aujourd'hui, retour sur Underground, métaphore tragique et délirante sur les totalitarismes et les peuples qui en sont les victimes.
Yamashita préfère s'entretenir avec son anguille qu'avec la belle Keiko qui n'a pourtant d'yeux que pour lui. Est-ce parce qu'il craint de reproduire le crime qu'il a commis huit ans plus tôt ou parce que son appréhension des femmes l'emporte sur son désir d'homme ? Un film, entre fable et thriller, qui entretient le mystère.
Ken Loach est au milieu de son chemin lorsqu’il réalisa The Navigators. Le film bénéficie alors de son expérience passée, autant que d’une vigueur de vue qu’il semble avoir quelque peu perdue au soir de sa carrière. The Navigators est un film engagé, sans être révolutionnaire, qui donne à regarder et à voir les ravages du libéralisme économique au travers de la privatisation de British Rail.
Virtuose et intimiste, préfigurant les grandes œuvres de Coppola, Conversation Secrète questionne l’Homme et l’art, sur fond de thriller paranoïaque.
L’univers kafkaïen offre à Welles un terrain de jeu fabuleux, et à Romy Schneider ses galons de grande actrice.
L’Enfer d’Henri-Georges Clouzot, le documentaire de Bromberg et Medrea, est le film qui restaure d’une manière intelligente et passionnante le film inachevé et mythique du cinéaste Henri-Georges Clouzot, l’Enfer. Il met en parallèle la folie malade du protagoniste, un homme rongé de jalousie, et celle, géniale, de Clouzot, aspiré par un tournage infernal invoquant tous les superlatifs.
Betty, le quarante-cinquième film de Claude Chabrol, est un film réussi : juste, sans aucun artifice, il se nourrit de l’étude de caractère des deux protagonistes, deux femmes qui sont liées l’une à l’autre presque malgré elles. Un film sans vraiment d’intrigue qui nous touche pourtant profondément.
















