En cette sixième journée du Arras Film Festival, un programme intéressant : la projection du film Je suis un soldat, dont la sortie est programmée au 18 novembre 2015, et la rencontre avec deux membres importants de son équipe, le réalisateur Laurent Larivière, et l’acteur Jean-Hugues Anglade.
Festivals
Chroniques Festivals : Nos rédacteurs parcourent les festivals pour vous en raconter les temps forts, à travers des chroniques, des interviews et des analyses. Tintin au Festival de Cannes, en somme..
Inoubliable rencontre avec un grand monsieur du cinéma, humaniste et artiste passionné ouvert vers le monde et l’humanité, empli d’humilité et de gratitude
Après une riche première journée de festival, un retour - ici textuel - s'impose. Trois projections presse, une rencontre, et le lancement public ce soir, bienvenue au Arras Film Festival, édition 2015.
L’Arras Film Festival permet de la sauver, de la réhabiliter. Le public l’a « sauvé » dit-elle. Celle qui a côtoyé Jack Arnold, Marcello Mastroianni, Charlton Heston dans Call of the Wind (l’Appel de la Foret, 1972) de Ken Annakin – un beau film dit-elle –n’a pas été oubliée et n’est pas prête de l’être.
Retour sur la dixième et dernière journée du Arras Film Festival, au programme : le palmarès, la projection du formidable film de clôture : "La Vie est belge" / "Brabançonne", l'interview de son équipe, et des remerciements.
Last Words et Teddy, deux films présentés aux Festivals de Cannes et de Deauville, bénéficient d'une véritable vision d'auteur et rendent chacun hommage au cinéma. Au programme, une fable post-apocalyptique écologique et une comédie horrifique sur l'adolescence.
Le Festival du Film Coréen à Paris continue, les films défilent. Parmi ceux que nous avons eu l’occasion de voir, tous ne méritent bien sûr pas d’être recommandés, mais la qualité est là. Petit briefing.
Au Festival Lumière, Michael « le » Mann(iériste) nous livre la genèse de son chef d’oeuvre « Heat »
Invité d'honneur du Festival Lumière 2017, le réalisateur américain Michael Mann s'est fendu, via une master class passionnante de la genèse de l'un de ses films cultes : HEAT.
Paul Verhoeven joue une partie de poker menteur avec son public, tant son dernier film aime jouer avec les codes du grotesque. Pour mieux nous déstabiliser ou pour mieux s’enfoncer dans la médiocrité. C’est difficile à dire tant les pistes, lancées ici et là, sont nombreuses. Benedetta est une grande farce, mais d’une grande force, qui s’interroge sur la notion du vrai et la puissance du mensonge.
Les nominations nous avaient mis la puce à l'oreille. Le palmarès nous confirme la tendance : la Berlinale de cette année a su mettre les femmes à l'honneur. La liste complète des lauréats est ici.
Deux ans à peine après le très prometteur Tu mérites un amour, Hafsia Herzi passe de la Semaine de la critique à Un Certain Regard pour présenter Bonne Mère, son deuxième long-métrage. Un magnifique portrait de femme(s) dans les quartiers défavorisés de Marseille, à la fois doux et âpre, drôle et émouvant, rayonnant d’empathie et de bienveillance à l’image de son personnage principal, Nora.
Brooklyn Village, un petit film débordant de petites vérités sur la vie moderne...