PositionRédacteur LeMagduCiné
Inscrit16 octobre 2017
Articles96
arras-film-festival-2024-cinema
L’Arras Film Festival célèbre un quart de siècle avec une sélection exceptionnelle. Parmi les temps forts, des œuvres marquantes comme Jouer avec le feu, Le choix du pianiste, ou encore Julie se tait, qui explorent les nouvelles frontières du cinéma. Des récits puissants comme Un Ours dans le Jura et The Gardener’s Year réinventent les genres, tandis que Dwelling Among The Gods et Little Jaffna invitent à des réflexions intimes et universelles. Une édition qui confirme que le cinéma reste un espace essentiel de rêves et de résistance collective.
jouer-avec-feu-film-arras2024-avis
Le monde va mal, et le cinéma peut-il y faire quelque chose ? À la 25e édition de l’Arras Film Festival, des films comme "Jouer avec le Feu", "Le Quatrième Mur" et "U Are the Universe" explorent cette question. Entre fractures sociales, quête de sens et luttes personnelles, le festival offre une sélection engagée qui interpelle.
franck-dubosc-arras-festival-2024-un-ours-dans-le-jura
La 25ᵉ édition de l'Arras Film Festival célèbre le cinéma comme un outil de résistance et d'émancipation. Du western revisité à la chronique sociale teintée d'humour noir, les films explorent des voies alternatives face aux crises contemporaines. Avec "Un ours dans le Jura", Franck Dubosc surprend en livrant une fable sociale percutante, tandis que Jiri Havelka et Jacques Otmezguine interrogent, chacun à leur manière, la résilience humaine.
Little-Jaffna-film-festival-arras-2024-avis
La 25e édition de l'Arras Film Festival commence véritablement aujourd’hui. Première journée pleine en termes de projection, premier jour du chapiteau, et première salve d’interviews pour votre serviteur. Et des films qui, encore et toujours, expriment le besoin d’écarter le spectateur de sa zone de confort pour métaboliser à l’écran des mondes ne faisant pas forcément partie de sa réalité.
arras-film-festival-2024
La 25ème déjà. Les raisons de faire la fête ne manquent pas à l’Arras Film Festival, mais le passage d’un cap symbolique donne toujours un parfum d’impatience supplémentaire aux retrouvailles annuelles avec la manifestation. Et à en croire le nombre de séances déjà complètes avant même le coup d’envoi, la fièvre des salles obscures n’est pas près de s’estomper dans l’arrageois.
justice-sauvage-film-1991-avis-cinema
Il n'y a sans doute qu'une petite élite de cinéphiles capable de comprendre ce que représente "Justice sauvage" dans l'histoire du cinéma. Ce que Michel-Ange a fait pour la peinture et Beethoven pour la musique, le film de John Flynn l'a fait pour le "vigilante flick" qui tire entre les deux yeux et tape dans les valseuses des sauvageons qui bavent leur dernier souffle devant la porte fermée du paradis. "Do you feel lucky, punk ?", demandait ce bon vieux Harry Calahan. Steven Seagal, lui, ne s'embarrasse même plus de la question. Bienvenue dans les années 90, celles qui portent le catogan, le béret de Stallone dans Demolition Man, et chantent la mélodie des os brisés.
films-trilogie-Barbershop-avis
Le cinéma d’importance culturelle génère-t-il forcément des films cinématographiquement importants ? Dans un monde où les questions esthétiques resteraient parfaitement imperméables au monde qui les entoure, et où le cœur n’auraient d’autres raisons que celles que la raison n’ignorerait point, peut-être. Auquel cas, la trilogie "Barbershop" n’aurait certainement pas voix au chapitre dans cette conversation. Ce qui, sans représenter une perte pour les Beaux-Arts, créerait un certain vide dans la culture pop de ces 20 dernières années.
Interview-Jawad-Rhalib-film-Amal
Moi je travaille comme pas mal de scénaristes et de réals, je bosse par personnage. Donc j’écris Amal du début jusqu’à la fin, Monia, Nabil, etc. Et après je vais chercher les interactions entre eux. Donc oui, c’est compliqué parce qu’on est dans une thématique ou on peut frôler les clichés, tomber dans les stéréotypes etc. Mais là aujourd’hui personne ne peut m’attaquer sur ce que je raconte dans le film. Parce que c’est documenté, parce que c’est ma culture, parce que je la maitrise, parce que je maitrise l’arabe classique et ce que raconte le Coran mieux que beaucoup de gens qui parfois ou souvent interprètent les textes à leur façon.
interview-Jean-jacques-Annaud-au-nom-de-la-rose
Je pense que j’ai un devoir d’être sincère. D’être moi pour eux, pas moi pour moi. Si c’est moi pour moi, j’achète un miroir, c’est pas trop cher, et je me fais des compliments, ou des reproches. J’ai trois moments de grands moments de grands partages: quand j'écris, sur le plateau, et avec le public. (...) Quand je vois des jeunes gens qui ont des Blu-ray de La Guerre du feu, de mon premier film, du Nom de la Rose… J’ai l’impression que c’est ma famille.
Interview-avec-Alix-Delaporte-et-Alice-Isaaz-film-Vivants
avec un scénario comme celui-là, c’est que les acteurs sont choisis non pas seulement par leur talent mais leur capacité d’analyse des situations. Quand Alice a lu le scénario, elle a déjà compris toutes les situations, le conscient l’inconscient des personnages. Sur un film comme ça, ça fait vrai parce que les comédiens ont l’intelligence des situations, donc elle peut s’approprier le personnage et l’emmener dans un endroit que j’imaginais même pas.