La rétrospective Spielberg continue avec le second film qui se trouve être déjà un chef d'oeuvre qui a bouleversé l'histoire du cinéma : Les Dents de la Mer, sorti il y a tout juste 43 ans.
Un mois avant la sortie de Ready Player One, CineSériesMag se lance dans une grande rétrospective du maître hollywoodien, avec un article par jour.
On attaque avec son premier film, Sugarland Express. Si ce n'est fait, taillez la route pour cette pépite à redécouvrir !
Coincé entre deux références de la filmographie spielbergienne (Rencontres du troisième type et Les Aventuriers de l'Arche perdue), 1941 est une petite pépite méconnue qui mérite d'être redécouverte.
Dans le cadre de notre rétrospective consacré à Steven Spielberg, penchons nous maintenant sur ce qui est considéré encore de nos jours comme un des films les plus réussis de sa carrière, mais aussi un des meilleurs blockbusters de l' Histoire du cinéma.
En 1984, Steven Spielberg et son équipe artistique donnent une suite aux aventures du célèbre archéologue avec Indiana Jones et le Temple Maudit. Bien que désavoué par son auteur, le film par bon nombre d'éléments convaincants et originaux s'impose comme un deuxième volet de bonne tenue!
Arrêtez-moi si vous la connaissez : C'est l'histoire d'un garçon qui devient ami avec un extraterrestre...
L'insécurité et le sentiment d'infériorité qui transpirent du personnage de Whoopi Goldberg forcent le public à s'attacher à elle. On pleure avec elle, on rit avec elle, on s'énerve avec elle, on grandit avec elle, on triomphe avec elle. Celie devient nous, et nous elle. C'est ainsi que l'on devient témoin de toute la force de caractère déployée par cette jeune femme du fin fond du sud des Etats-Unis.
Là où l'on aurait pu s'attendre à un récit d'apprentissage déchirant sur fond d'épopée guerrière à couper le souffle, Empire du Soleil s'avère être un film qui n'est pas à la hauteur de ses ambitions. A trop vouloir transformer la guerre en terrain de jeu, on en oublie l'émotion.
Suite de la rétrospective consacrée à Steven Spielberg avec le troisième opus de la saga Indiana Jones : Indiana Jones et la Dernière Croisade. Un opus qui se laisse plus facilement glisser vers l'humour et auquel injecte Spielberg, une massive dose de malice et de rêverie, le tout enrobé d'une quête du père articulée autour de la chasse à un artefact légendaire : le Graal.
La Liste de Schindler de Spielberg est un hommage en noir et blanc sublimé par la musique de John Williams. La frontalité des images confronte le spectateur à la réalité de cette guerre.
Chez Spielberg, il y a les chefs-d'oeuvre, les très grands films, les bons films, les films mineurs, les mauvais films ET Always.
En se réappropriant Peter Pan, Spielberg ne livre assurément pas son meilleur blockbuster mais un vertigineux instantané de lui-même.