Alors que le public aurait pu avoir une comédie digne de Tanguy et de Papa ou Maman, Mon Poussin s'avère être beaucoup trop classique et gentillet pour amuser pleinement la galerie.
Inscrit4 septembre 2014
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Se droguant avec Jurassic Park, Les Dents de la Mer, Independence Day, E.T. et Indiana Jones à l'âge de 6 ans (même moins pour certains), autant dire que le cinéma était une passion d'emblée. Qui continue à s'élargir au fil des années, à tel point que j'espère un jour en faire mon métier (scénariste, réalisateur, critique... tout est bon !). A mon actif, quelques montages vidéos et un semblant de court-métrage en réserve, je préfère toutefois encore plus m'enfouir dans une salle de cinéma et me laisser transporter par ce que propose le grand écran. Que ce soit un plaisir coupable comme les comédies musicales ou les gros blockbusters d'un certain Michael Bay (je sens la foudre s'abattre sur moi !). Ou bien de véritables chefs-d'oeuvre. Quoiqu'il en soit, du moment que c'est signé par Nolan, Cameron, Spielberg et Burton, je fonce littéralement payer mon ticket.
A défaut de renouveler les jeux dont il s'inspire et de se sortir de son statut de série B, Resident Evil : Vendetta assure le minimum syndical en étant plus regardable, divertissant et respectueux que les ignominies de Paul W.S. Anderson;
Sans réel talent ni expérience, le duo Eric et Quentin se lance dans le cinéma pour nous livrer, non pas un film, mais une abomination se voulant trash et faisant plus pitié qu'autre chose.
Après s'être perdus dans le merchandising à outrance avec un second opus indigne de leur filmographie, les studios Pixar parviennent avec Cars 3 à offrir un soupçon de maturité à leur saga, sans pour autant nous livrer un chef-d’œuvre.
Abandonnant un temps les grosses productions hollywoodiennes, le réalisateur Doug Liman prend les rênes d'une série B financée par Amazon studios et la transforme en un duel de snipers viscéral à souhait.
Dans le top 20 du Box-office France 2016 : une année dominée par les comédies populaires, Chocolat, Radin !, les films d'animation, Zootopie, L'Âge de glace et les blockbusters, Rogue One : A Star Wars Story.
Afin de conclure la rétrospective sur Stephen King, la rédaction de CineSeriesMag revient sur Cell Phone de Tod Williams, une série B ridicule et indigeste au possible, alors que le roman évitait ce constat.
Malgré la richesse de l'univers de Stephen King, les studios hollywoodiens se sont plongés dans la redite avec un remake de Carrie, transformant le film culte de Brian De Palma en teen movie abrutissant.
Critique de la Grande Muraille, un film de Zhang Yimou avec Matt Damon qui s'annonçait comme une gigantesque fresque épique pour finalement n'être qu'une série B nanardesque.
Critique de Simetierre de Mary Lambert, adaptation maladroite et sans envergure de l'inoubliable roman de Stephen King, pourtant scénariste ici, qui parvient à faire perdre toute puissance horrifique et émotionnelle de son oeuvre.
Critique du film Passengers, un blockbuster signé Morten Tyldum dans lequel le couple Chris Pratt/Jennifer Lawrence se livre à une romance certes classique mais fort sympathique... avant de se retrouver dans capharnaüm de clichés hollywoodiens.
À l'occasion de sa sortie dans les bacs, la rédaction de Cineseries-mag revient sur Peter et Elliott le Dragon, un remake enchanteur qui flirte avec savoir-faire du côté d'E.T. et consorts.