Ce neuvième long-métrage d’animation depuis Astérix le Gaulois (1967, cela ne rajeunit pas…) offre au héros de René Goscinny et d’Albert Uderzo un lifting à part entière après quatre longues années de gestation.
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Se droguant avec Jurassic Park, Les Dents de la Mer, Independence Day, E.T. et Indiana Jones à l'âge de 6 ans (même moins pour certains), autant dire que le cinéma était une passion d'emblée. Qui continue à s'élargir au fil des années, à tel point que j'espère un jour en faire mon métier (scénariste, réalisateur, critique... tout est bon !). A mon actif, quelques montages vidéos et un semblant de court-métrage en réserve, je préfère toutefois encore plus m'enfouir dans une salle de cinéma et me laisser transporter par ce que propose le grand écran. Que ce soit un plaisir coupable comme les comédies musicales ou les gros blockbusters d'un certain Michael Bay (je sens la foudre s'abattre sur moi !). Ou bien de véritables chefs-d'oeuvre. Quoiqu'il en soit, du moment que c'est signé par Nolan, Cameron, Spielberg et Burton, je fonce littéralement payer mon ticket.
Après Harry Potter et Twilight, c’est au tour de la saga Hunger Games de voir son dernier opus scindé en deux. De quoi faire durer le plaisir des fans ou bien s’agit-il d’un concept purement lucratif pour les producteurs ?
Vous avez râlez envers le film de Len Wiseman ? Avec ce cinquième épisode, Die Hard – Belle journée pour mourir, vous n’avez encore rien vu.
S’il vous fallait un descriptif de Californication, il vous suffit juste de regarder le début du tout premier épisode qui se présente de la manière suivante : un rêve dans lequel notre héros arrive à l’église au volant de sa Porsche, jetant au passage son mégot dans le bénitier...
Une bien bonne surprise que ce Babysitting, qui prouve que la France a encore quelques atouts en poches pour livrer des comédies réussies. Et que le found footage n’est pas un style cinématographique exclusivement réservé aux Américains
Mea Culpa se révèle être d’une efficacité redoutable, livrant des séquences d’action véritablement palpitantes et superbement filmées/montées. Pour s’en assurer, il n’y a qu’à voir la séquence du TGV.
Match Retour est un long-métrage fort sympathique, qui amuse. Mais en étant qu’une simple comédie dramatique sportive, le film passe à côté de la parodie hilarante à tendance nostalgique qu’il aurait pu être.
Taken a lancé une mode pour le cinéma d’action franco-américain signé par Luc Besson (scénariste/producteur) : faire venir dans notre chère capitale une star hollywoodienne pour que cette dernière « s’amuse » comme il se doit, flingue à la main.
Il est regrettable que Le talentueux Mr Ripley soit aussi long à se mettre en place et se montre même parfois ennuyeux, car nous tenions sans l’ombre d’un doute, un véritable bijou du thriller psychologique.