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Inscrit12 septembre 2016
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Avant de devenir un réalisateur phare du Nouvel Hollywood, Coppola a fait ses gammes chez Roger Corman. En résulte, Dementia 13, une série B d'horreur gothique oubliée mais qui malgré son faible budget montre déjà quelques belles idées de mise en scène.
feffs-2019-competition
Du 13 au 22 septembre a eu lieu la 12ème édition du FEFFS qui nous a encore une fois proposé une sélection hétéroclite avec au programme une robe tueuse dans In Fabric de Peter Strickland, une chambre exauçant les souhaits avec The Room de Christian Volckman, une satire loufoque des suburbs appelée Greener Grass, ainsi qu'un retour râté de la part de Lucky Mckee avec Kindred Spirits.
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Après le choc Hérédité, Ari Aster nous revient avec un nouveau tour de force. Nous plongeant dans les festivités du solstice d'été dans une communauté en Suède, le cinéaste questionne le délitement d'un couple entrecoupé de rituels païens et de trips hallucinogènes, le tout baigné dans une lumière solaire constante.
bloody-sunday-critique-histoires-de-cannibales
Chez Bloody Sunday, on aime bien quand les cinéastes repoussent les limites, et s'il y a bien un réalisateur connu pour ça, c'est Tsui Hark. Pour ce 10ème volet, rendons donc hommage au virtuose hongkongais en mettant en lumière un film méconnu faisant parti de la fameuse trilogie du chaos, Histoires de cannibales, un mélange explosif de comédie, d'horreur et d'arts martiaux.
bloody-sunday-critique-les-feebles
Avant de connaître la gloire avec sa trilogie de fantasy, Peter Jackson jouait les sales gosses aux travers de délires gores dans les années 80. Dans le tas, on retrouve les Feebles, variation trash des Muppets où des marionnettes s'adonnent aux pires vices imaginables dans une avalanche d'humour cachant une critique corrosive du monde du showbiz.
bloody-sunday-critique-ninja-scroll
Quand on parle de japanimation, le premier nom qui vient en tête est Ghibli. Pourtant d'autres studio ont su marquer les esprits au travers de contenus plus adultes, et c'est le cas du studio Madhouse. Si l'un de ses représentants les plus iconiques est le regretté Satoshi Kon, Yoshiaki Kawajiri n'est pas en reste. Avec Ninja Scroll, il accouche d'une oeuvre violente où un rônin se voit aux prises avec un panthéon de démons tous plus puissants les uns que les autres.
bloody-sunday-critique-schramm
Alors que la figure du tueur en série est la thématique de ce mois au Mag du ciné, Bloody Sunday profite de l'occasion pour mettre à l'honneur le pape du cinéma extrême allemand Jörg Buttgereit au travers de son portrait sans concession d'un tueur en série répondant au nom de Schramm. Une plongée traumatisante dans un esprit empli de perversion entre réalisme sordide et séquences hallucinées.
bloody-sunday-critique-society
Pour ce 5ème épisode de Bloody Sunday, il est temps de mettre à l'honneur la chair humaine au travers d'un genre qui en est friand, le Body Horror. Sous ce genre de l'horreur spécialisé dans la trituration et la mutation des corps, le Body Horror compte d'illustres représentants. Intéressons nous aujourd'hui à ce cher Brian Yuzna qui a su offrir au Body Horror une approche des plus grotesques au travers de sa satire des élites bourgeoises de Beverly Hills, Society.
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Alors que Godzilla s'apprête à piétiner le box-office avec le nouvel opus Godzilla King of Monsters, il est aujourd'hui à l'honneur dans notre thématique sur les personnages mythique du cinéma. Né dans les années 1950 à travers le film de Ishiro Honda, Godzilla est, avant d'être le roi du cinéma de divertissement, l'occasion pour les Japonais de communiquer sur le trauma causé par les bombardements atomiques d'Hiroshima et de Nagasaki. Une peur toujours présente dans les esprits et qui va être ici personnifiée au travers du monstrueux lézard.
bloody-sunday-critique-au-dela
Pour tout amateur de trésors bis, le cinéma italien est une véritable mine d'or. Pour ce 4ème rendez-vous de Bloody Sunday, nous mettons à l'honneur l'un des plus grands metteurs en scène du cinéma d'exploitation italien, Lucio Fulci. Au travers de son chef d'oeuvre l'Au-delà, retour sur un esthète du macabre.