Le film de Cédric Kahn a deux forces : laisser à chaque protagoniste l’espace pour s’exprimer en refusant d’en juger ne serait-ce qu’un seul, et redonner toute leur place aux deux frères, au centre de ce combat père-mère.
Critiques films
Critiques et analyses des films à l’affiche, les dernières sorties cinéma critiquées par nos chroniqueurs.
Le Grimoire d'Arkandias risque de se retrouver à la peine en cette période de grosses sorties, et de pâtir d'une cible mal définie.
Il est maintenant dans les mœurs de parler d’un « bon » Woody Allen, et d’un « moins bon » Woody Allen. Magic in the Moonlight est à ranger parmi les seconds, une sorte de pause après le vrai élan créatif de Blue Jasmine.
Vivre ne s'apprend pas dans les théories littéraires, fussent-elles de Kant.
Après Occident et Quatre mois, trois semaines et deux jours (Palme d'Or 2007), Au-delà des collines emporte le spectateur au sein d'une communauté religieuse...
Conte de fée coloré à la sauce mexicaine, vibrant d'originalité et de vie, La Légende de Manolo est le film familial idéal en cette période de fête des morts.
Et au milieu de toutes ces productions pétaradantes, dotées de morales héroïques et libertaires, sentant bien gros le gigantisme américain, arrive le petit nouveau, en la personne de The Maze Runner, sobrement intitulé en français, Le Labyrinthe.
Clairement, Balade entre les tombes lorgne du côté des grands noms du polar, mais sans en avoir le charme vénéneux.
Le film part avec de très nombreuses lacunes, mais heureusement les deux compères savent manier une caméra et quelques projecteurs. Car Aux Yeux des Vivants proposent des plans splendides et cette symbolique divine autour du « mutant » fait preuve d’une maîtrise formelle imparable.
L'histoire de Killers commence un an auparavant avec la diffusion de V/H/S/ 2 lors de l'Etrange Festival. Parmi les sketchs qui le composait, un en particulier a retenu l'attention de tout le monde : Safe Haven. Plongée apocalyptique au cœur d'une secte satanique...
« Samba », dernier né du duo Nakache / Toledano est à l’image de ses affiches toutes resserrées sur le visage serein de ses personnages : sucré, policé, trop sage. Sur les affiches, la lumière est très belle, pas forcément dans le film qui souffre d’une image plutôt banale et d’une absence souvent flagrante de mise en scène.
Ninja Turtles est visuellement réussi, Jonathan Liebesman fait preuve de sobriété, enfin si on le compare à Michael Bay. Les Tortues Ninja et Maître Splinter sont très réalistes. Filmés en motion capture, elles participent à la réussite de l'ensemble.