Mélanie Laurent signe avec Libre son film le plus romantique et sensible, plaisant et attachant.
Inscrit10 mars 2023
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Porté par une Marie Colomb désarmante de sex-appeal non vulgaire et de vulnérabilité véridique, Culte de Louis Farge réussit l’exploit...
Avant de devenir le réalisateur auréolé de la palme d’or à Cannes en 2024 pour "Anora", Sean Baker co-réalise avec Tsou Shilh-ching en 2004 un documentaire marxiste et sans concession "Take Out" sur les désillusions du rêve américain.
Avec une énergie tumultueuse et un amour fou des acteurs et de l'émotion, Gilles Lellouche réussit un film bancal et sincère, fragilisé par sa durée et sa volonté de vouloir tout embrasser.
Dans un film âpre et qui ne se laisse pas facilement cerner, Isabelle Coixet dépeint le puissant racisme et la violence des autres à travers le portrait d’une femme seule en quête de son désir.
Dans 8 épisodes de 11mn Julien Gaspar-Oliveri filme à bout portant avec une sensibilité effrontée et une vigueur incisive une dizaine de jeunes lycéens dans un atelier théâtre.
Monsters le second volet de la série d anthologie showrunnée par Ryan Murphy et Ian Brennan met en scène avec brio, densité et incandescence d’acteurs, le parricide et matricide commis par les frères Menendez en 1989 à Los Angeles.
La Vie est une fête dernier spectacle de Jean-Christophe Meurisse (réalisateur au cinéma des Pistolets en plastique) est un mélange explosif et hyperbolique de toutes les névroses individuelles et collectives, un théâtre punk et cathartique où la cruauté rieuse danse avec la tendresse.
Pour son second long métrage après le remarqué "Compte tes blessures", Morgan Simon continue d’explorer les relations familiales et signe avec "Une vie rêvée" un film intimiste empreint de tendresse, de justesse, de délicatesse et de modernité.
Entre l’emphase léchée du cinéma de Guadagnino et la veine cauchemardesque du chef de file de l’elevated horror Ari Aster, Zoé Kravitz livre avec Blink twice une peinture dégénérée de l’Amerique post Weinstein.
Film à la forme mutante, empreint d'écriture hybride, cyberpunk, mélancolique et fiévreuse à la Maurice G.Dantec (Les Résidents), Eat the Night de Caroline Poggi et Jonathan Vinel résonne avec rage et lueur de toutes les dissonances du monde.
Mon Parfait Inconnu de Johanna Pyykkö propose un film surprenant et troublant aux multiples twists, une œuvre profondément originale tant dans son scénario que dans sa mise en scène.