la-maison-de-la-mort-critique-cinema
Un an après le succès de Dracula et de Frankenstein (1931), grands classiques d’Universal Pictures ayant tous deux fixé les conventions et l'iconographie de l'horreur gothique, James Whale offre à l'immense Boris Karloff, icône de l'âge d'or des "Universal Monsters", le rôle d'un majordome patibulaire dans La Maison de la mort (The Old Dark House), autre chef-d’œuvre de l’épouvante typique de l'ère Laemmle Jr.
Zombies-avis
L'ouvrage Zombies, de Claude Gaillard et Guillaume le Disez, publié il y a quelques semaines aux éditions Glénat, offre un aperçu richement documenté de la figure du zombie dans la culture populaire. Ce livre volumineux et illustré avec soin poursuit le chemin tracé par leur précédent ouvrage sur les slashers, plongeant un peu plus dans les abysses du genre horrifique.
sick-of-myself-critique-kristoffer-borgli-film
L’expression si chère aux réseaux sociaux « Expectations vs reality » n’aura jamais pris une tournure aussi sardonique. Par un inventif travail de montage fait de ruptures et d’ellipses, Borgli donne à son personnage des visions d’un futur qu’elle s’invente radieux… pour mieux la ramener dans sa réalité morbide.
Bela-Lugosi-critique-bd
Préfacé par François Theurel, Lugosi est un album doublement intéressant : en y dévoilant l'histoire et la personnalité d'une figure séminale et inoubliable du cinéma d'épouvante, Koren Shadmi raconte en creux comment les studios, et en premier lieu Universal, ont exploité un genre à la fois artisanal et rémunérateur.