A coté de Norman Bates et Hannibal Lecter, qu'en est-il des serial killeuses connues au cinéma ? De Kill Bill à Killing Eve, retour sur les différents portraits de femmes tueuses à l'écran.
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Vous avez envie de devenir incollable sur un sujet de cinéma ? Plongez dans nos dossiers (Portraits, filmographies & biographies d’acteurs, de réalisateurs…) Revivez l’histoire du cinéma avec les thèmes autour de cet univers. Un sujet décliné sous toutes les formes pour le plaisir de votre lecture.
Lors de ce mois de mai, LeMagDuCiné vous présente quelques tueurs en série qui ont marqué le cinéma ou la télévision. Aujourd'hui, nous nous penchons sur le cas de L'Inspecteur Harry, de Don Siegel, dans lequel Clint Eastwood interprète un policier au moins aussi dangereux que le tueur qu'il traque.
Durant ce mois de mai, Le Magduciné a voulu se pencher sur le thème des tueurs en série au cinéma et dans les séries. Commençons par un meurtrier peu connu mais à la représentation maladive et flamboyante : Jean du film Sombre de Philippe Grandrieux. Un film à l’image de son personnage : hors des sentiers battus et qui s’engouffre dans le chaos.
Comme le dit l’adage, la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Pourtant parfois, des émotions prédominent. C’est le cas de la joie avec le personnage de Forrest Gump. Non pas qu’il soit joyeux et continuellement heureux, mais le film nous embarque par son innocence, la drôlerie du premier degré incessant de son protagoniste et une naïveté qui confine rapidement à l’empathie. Le film est une leçon de vie, invraisemblable mais extraordinaire.
Cycle Emotions et Personnages sur Pellicule : Retour sur l'un des plus drôles et bouleversants italiens qu'est ce Guido dans La Vie est belle. Le tragi-comique du film bouleverse un peu les mœurs pour offrir un grand moment de cinéma et un personnage marquant.
En attendant sa prochaine redistribution en salle le 5 juin, retour sur La Cité de la peur et son personnage phare, Simon Jérémi, à qui l'on doit 25 ans de joie au cinéma.
Dans son deuxième film, Léa Fehner filme un collectif. A la « qu’un seul tienne les autres suivront », elle permet à ses personnages de construire une utopie où le bonheur semble toujours teinté de tristesse. Pourtant, c’est la rage de vivre de ces acteurs ambulants que l’on retient, grâce à une très belle scène finale. Petite analyse de la joie « triste » au cinéma dans le cadre de notre cycle d'avril.
Alex est joué par William H Macy. Un charisme fou de Droopy, qui fascine d'autant plus qu'il est le genre d'acteur dont on se souvient, tout en cherchant à se rappeler de son nom en se maudissant de ne pas le retenir.