« What doesn't kill you makes you stranger » A chaque itération du Joker, le personnage marque les esprits. Depuis 80 ans, le mystère plane autour de son identité, ses motivations et ses origines, rendant encore plus fascinant ce vilain de la mythologie moderne. A l'occasion de la sortie de Joker, on remonte le temps pour traverser les films, les jeux-vidéos et la bande-dessinée afin de mieux comprendre ce machiavélique mais si populaire personnage.
Analyses
Analyses : Saviez-vous que Le Roi Lion était une adaptation d’Hamlet ? Et si It Follows était une métaphore des MST ? Nos rédacteurs analysent à chaque fois une œuvre du 7ème art avec passion et originalité.
Installant une ambiance mystérieuse et onirique aux frontières du gothique, Hitchcock met en scène un bien singulier personnage dans Rebecca : une maison. Au cœur d’une romance naissante, une grande demeure anglaise est le pilier de la relation entre Mr and Mrs De Winter et met à nue les rouages d’une mise en scène théâtrale au décor parlant. Cette grande maison hostile hante les esprits et fait jouer une présence fantomatique refusant de disparaître.
Robin Des Bois, héros sans peur et sans reproches, traverse nos écrans depuis que le cinéma est né. Dissection d'un succès jamais démenti.
La sémiologie se conçoit comme l’étude des signes. Dans une image, on appelle signifiant la définition grammaticale d’un objet, son rôle physique et matériel, et signifié sa face immatérielle, conceptuelle, qu'on ne peut appréhender selon différents contextes. Le Mag du Ciné vous propose son analyse de deux affiches publicitaire du film Taxi Driver, qui rend compte de deux époques et deux contextes marketing différents. La première était présente pour promouvoir le film à sa sortie en salles, alors que la seconde fut réalisée à l'occasion de sa sortie en DVD.
Le film préféré d'Hitchcock. Parabole sombre, et souvent drôle, sur le mystère d'iniquité et sa révélation douloureuse dans l'âme d'une jeune fille de la classe moyenne américaine. Sous les apparences d'un duel manichéen, Shadow of a Doubt explore les hypocrisies et les tourments secrets d'une société qui se refuse à voir le mal qui la ronge intérieurement.
Cela fait soixante ans que le cinéma de jean-Pierre Mocky nous accompagne. Une filmographie qui lui ressemble, sincère, truculente, engagée, laissant une grande place à ces acteurs qu'il aimait tant. Sa disparition laissera un grand vide dans la production cinématographique française. Petit hommage à un grand cinéaste.
Accueilli avec émotion, Lion suit les traces du renommé Slumdog Millionaire. Même si les scénarios sont différents, ces oeuvres restent tout de même étroitement liées. Elles dépeignent avec simplicité la réalité et mettent en évidence la symbolique thématique de l'espoir.
Le space horror est partout : dans la littérature, au cinéma, dans les jeux vidéo et les séries télévisées. Créatures terrifiantes, étendues infinies, vulnérabilité humaine, mystères et suspense : Le Mag du Ciné vous aide à comprendre le phénomène.
Avant de découvrir l'épisode 9 devant clôturer la saga Star Wars, retour sur un cinéma plus ancien, celui du Japonais Akira Kurosawa, ayant profondément marqué George Lucas et influencé son univers.
Les influences de Tōru Takemitsu sont très variées. Il a, tout au long de sa vie de compositeur, tenté d'allier tous les sons qui lui parvenaient en une fusion que l'on pourrait qualifier de cosmique. L'humanisme, le silence, la nature et l'art étaient parmi ses sources d'inspiration les plus précieuses.
Dans un thriller aux accents psychologiques, le film de Jonathan Demme offre le portrait d’une enquêtrice aux accents féministes dont le rôle amène à repenser les espaces offerts aux femmes par les films policiers hollywoodiens des années 90. S’intégrant dans des problématiques qui résonnent jusqu’à aujourd’hui, Clarice Starling permet de s’interroger sur les rapports entretenus avec une autorité hiérarchique masculine établie et la tentative d’abolir des stéréotypes féminins.
Que le spectateur soit en effet prévenu, c'est à un malaise continuel qui ne le dispute qu'au glauque parfois gothique que veut atteindre le film – avec succès. Aucun screamer, aucune tension provoquée par le récit, aucun mystère à suivre comme dans un polar d'épouvante, il ne s'agit simplement que d'une expérience de l'insituabilité.