Si Krampus semble être le vilain garnement des films de noël, on se rend compte que c'est dans son côté horrifique et burlesque que s'expriment les codes traditionnels du film de saison. Les thèmes du cinéma d'horreur et du film de noël vont ici de pair pour proposer un film respectant les valeurs des fêtes et le fameux esprit de noël.
Rétrospectives
A l’image de Marty McFly et Doc, on prend la Dolorean et on revient sur la filmographie d’un réalisateur, l’intégralité d’une franchise ou les films d’un studio.
Que seraient les fêtes de Noël sans ses célèbres comédies romantiques ? Pour commencer la Rétrospective consacrée aux films de Noël, Le Mag du ciné a choisi de se pencher sur la question en revenant sur un genre très prisé à cette période, qui émerveille petits et grands.
Ingmar Bergman boucle sa carrière avec Saraband, un beau film de télévision, puis de cinéma, symptomatique de son oeuvre et de ses thématiques familiales.
A travers le conflit entre une mère et sa fille, Ingmar Bergman va au-delà de l'apparence d'une vie de couple tranquille et sereine pour mettre à nu les blessures, les douleurs et les fêlures de deux femmes en faute d'amour.
LeMagduciné continue sa rétrospective de l'un des maîtres du cinéma, Ingmar Bergman. Penchons nous aujourd'hui, sur La Honte. Une oeuvre destructrice qui immisce l'image de la guerre au sein de la société et du couple, pour s'interroger sur l'humanité et sa capacité à résister aux maux du monde.
LeMagduciné continue sa rétrospective de l'un des maîtres du cinéma, Ingmar Bergman. Penchons nous aujourd'hui, sur L'Heure du loup. Une oeuvre introspective, onirique, portant sur l'artiste et ses peurs, et qui comme Persona, détient une place toute particulière dans la filmographie du cinéaste.
La rétrospective Ingmar Bergman continue avec une oeuvre essentielle du cinéaste suédois, Les Fraises Sauvages nous emmène dans un véritable road movie introspectif rempli d'émotion et de lucidité où les habitués Victor Sjöström, Ingrid Thulin et Bibi Andresson se donnent la réplique.
Persona prend une place particulière dans la filmographie de Bergman : c'est l'œuvre qui lui sauva la vie, dit-il. Retour sur une autopsie psychologique confondante, qui mêle réflexions sur le langage, la maternité, l'identité et le cinéma lui-même. Difficile d'en sortir indemne.