greenland-le-dernier-refuge-critique
En se focalisant sur la trajectoire d’une famille américaine meurtrie par un cataclysme sans précédent, Greenland parvient à conjuguer avec habileté drame intimiste et grand spectacle propre au blockbuster. Si les deux heures de chaos sont inégales et les effets spéciaux de qualité aléatoire, Ric Roman Waugh, qui aborde la thématique si actuelle du confinement, s’intéresse ici à la psychologie des personnages en crise et maintient la tension constamment alimentée par l’urgence.
Ainsi, pour mettre celle-ci dans le bain, le personnage de Sam Carpenter qui est nouveau, est aidé par Sidney, Dwight et Gale, qui sont les anciens et qui ont survécu au tueur plus d’une fois. Parmi les amis de Tara, il y a la jeune Mindy Meeks-Martin. Meeks comme Randy Meeks qui nous expliquait le genre de l’horreur. Et cette fois, c’est elle qui nous explique le principe du « Requel ».