On peut ne pas aimer le directeur ou la personne, mais force est de reconnaître que la prestation d'acteur de Kassovitz est ici impeccable, dans un rôle casse-gueule sur lequel reposent la réussite et la crédibilité du scénario.
Critiques films
Critiques et analyses des films à l’affiche, les dernières sorties cinéma critiquées par nos chroniqueurs.
Après Harry Potter et Twilight, c’est au tour de la saga Hunger Games de voir son dernier opus scindé en deux. De quoi faire durer le plaisir des fans ou bien s’agit-il d’un concept purement lucratif pour les producteurs ?
Le cinéma français adapte à nouveau un fait divers après Vie sauvage de Cédric Kahn. Dans La prochaine fois je viserai le cœur, Cédric Anger s’intéresse à un homme solitaire dont le talon d’Achille principal est les femmes.
On attend un film grinçant, cynique et pertinent sinon impertinent. Sauf que le film de Mocky est mauvais, exécrable même, ou alors il s’agit d’un film pour initiés à l’univers du réalisateur mais alors, très initiés !
Qui vive raconte l’histoire de Chérif, un jeune homme mal dans sa peau, mal dans sa vie, vigile pour gagner sa croûte, mais rêvant de devenir infirmier...
Bourré de défauts et de très peu de qualités, Ouija est un énième film d’horreur pour adolescents qui vient s’ajouter à toutes ces histoires pour faire peur, mais qui passent complètement à côté.
Le Juge dénote la petite santé du cinéma américain, qui fort d’une année loin d’être aussi réussie en terme financier, retourne à ses basiques en espérant réveiller la flamme de l’excellence made in 70’s
Filmer avec élégance, Love is Strange aborde avec délicatesse, la place des personnes âgées dans la société...
Favelas, c’est d’abord la mise en scène d’une relation d’amitié quasi-fusionnelle entre Rafael et Gardo, compagnons de galères et fortes têtes du haut de leurs quatorze ans.
Puisque les producteurs ne se lassent pas de faire des films de la même façon, forcément, les arguments contre finissent par se ressembler.
Ses variations autour du thème de l’identité sexuelle, du trouble sexuel ou tout simplement de la féminité sont marginales, mais François Ozon réussit encore et toujours à en faire un miel différent.
Si le film, Respire est fort en émotions, il se présente plus comme l'analyse d'un phénomène que comme une vraie oeuvre cinématographique audacieuse.