Narré en VO par Woody Harrelson et doublé en français par Edouard Bergeon (réalisateur d’Au nom de la Terre, 2019), ce documentaire d’une heure trente s’intéresse à une solution au problème de l’accumulation de CO2 dans l’atmosphère – entraînant le réchauffement climatique – par une régénération de nos sols, mis à mal par l’agriculture intensive. Les solutions proposées par des scientifiques sont portées çà et là par quelques caméos célèbres dont on espère que la notoriété pourra aider à la diffusion de ce message qui apporte un réel espoir et une envie de changement.
à-l-ouest-rien-de-nouveau-edward-berger-netflix-critique-film
A quelques jours de la commémoration du 104ème anniversaire de l’armistice de 1918, A l’Ouest rien de nouveau, diffusé sur Netflix, se présente comme une nouvelle et très belle adaptation du roman pacifiste d’Erich Maria Remarque publié en 1923. Aux commandes on trouve Edward Berger, cinéaste allemand qui, auparavant, avait réalisé, entre autres, plusieurs épisodes de la série The Terror, d’après Dan Simmons.
close-film-Lukas-Dhont-avis
Lukas Dhont creuse le sillon de la pudeur. Son deuxième long-métrage Close frôle les méandres du mélo pour s'en mieux s'en échapper. A travers l'histoire d'une amitié masculine brisée, le réalisateur sape les clichés qui collent à la peau de nos représentations.
la-maison-film-anissa-bonnefont-critique
Emma Becker nous livrait avec son livre une fascination d'ordre sociologique, riche et personnelle. Avec cette adaptation, la réalisatrice Anissa Bonnefont fait de La Maison une oeuvre édulcorée, plus intéressée par ses scènes de sexe crus que par ses personnages, moteurs même de l'histoire.
jeepers-creepers-reborn-de-timo-vuorensola-critique
A cause des "déboires pédophiles" de son créateur Victor Salva, la franchise horrifique Jeepers Creepers est passée à la trappe au fil du temps. La remettre sur le devant de la scène n'était clairement pas une mauvaise idée. Encore fallait-il avoir à sa tête un réalisateur qui sait travailler avec une caméra...
le-menu-film
Avec Le Menu, Mark Mylod s'essaie à la satire sociale. En s'inscrivant dans le milieu de la haute gastronomie, il tente de dénoncer les comportements exécrables de ces 1%. Malgré un récit assez facile qui pêche dans son écriture, la satire sociale et la galerie des personnages sont suffisamment convaincants pour satisfaire notre appétit.
Les pulsions d'Eros ne sont jamais loin du Thanatos... En plus d'avoir la pulsion de Mort en elle, Pearl est très passionnée et que ce soit pour son mari, pour son amant ou n'importe quel autre homme, elle est active dans la séduction. L'Amour, ou plutôt le Désir, le sexe, la séduction,  sont importants pour elle. Mais ils ont la même valeur que dans un  film de 90 minutes : quelque chose de beau et d'illusoire. Pearl ne sait malheureusement pas aimer.