La tendresse et la douceur avec lesquelles il filme ses événements contrastent brutalement avec leur froid réalisme, et risquent de choquer plus d'un spectateur.
Critiques films
Critiques et analyses des films à l’affiche, les dernières sorties cinéma critiquées par nos chroniqueurs.
Blanc comme neige avait de quoi faire, notamment du côté de son casting plutôt impressionnant. C’est pour cela que le constat post-visionnage se montre aussi glacial que la neige…
Nocturna s'inspire des divers récits créés par Tim Burton et Hayao Miyazaki, les réalisateurs/scénaristes suivent le parcours d’un garçonnet qui va découvrir que les chats sont des animaux qui errent la nuit dans le seul but de faire dormir les enfants.
Sécurité rapprochée à tout d’un buddy movie tout ce qu’il y a de plus classique : deux héros que tout oppose et qui doivent néanmoins faire équipe pour survivre, des belles gueules du cinéma hollywoodien pour les incarner, de l’action à gogo et de l’adrénaline à très forte dose...
Les Garçons et Guillaume, à table ! dévoile avant toute chose, le génie de cet homme pour la mise en scène. Rien qu’au niveau du scénario : au lieu d’adapter bêtement son spectacle, Guillaume Gallienne livre une mise en abyme du théâtre.
Michel Hazanavicius, ce touche-à-tout plutôt brillant revient, trois ans après son explosif succès mondial (The Artist) avec The Search, un film de guerre qui se déroule en pleine (seconde) guerre de Tchétchénie en 1999.
Violence, sexe, drogue et adolescence racontés dans un déballage très propre d’images et de musiques envoûtantes. Comme si le « no limit » des personnages faisait plus rêver que cauchemarder.
On est très loin de la vision un peu romancée de l'aventurier Australien telle que présentée dans Crocodile Dundee, par exemple.
Il faut savoir qu’initialement, Planes ne devait même pas débarquer dans les salles de cinéma. En effet, il était prévu que ce long-métrage bénéficie d’une sortie directe dans les bacs (DVD et Blu-ray).
Ce neuvième long-métrage d’animation depuis Astérix le Gaulois (1967, cela ne rajeunit pas…) offre au héros de René Goscinny et d’Albert Uderzo un lifting à part entière après quatre longues années de gestation.
On peut ne pas aimer le directeur ou la personne, mais force est de reconnaître que la prestation d'acteur de Kassovitz est ici impeccable, dans un rôle casse-gueule sur lequel reposent la réussite et la crédibilité du scénario.
Après Harry Potter et Twilight, c’est au tour de la saga Hunger Games de voir son dernier opus scindé en deux. De quoi faire durer le plaisir des fans ou bien s’agit-il d’un concept purement lucratif pour les producteurs ?