Ça commence par un visage. Fatigué. Endormi. Abattu. Ce visage, c’est celui de Sandra, modeste employée d’une entreprise de panneau solaire qui va être confrontée à la sauvagerie et l’âpreté du monde contemporain lorsqu’elle apprend son licenciement..
Critiques films
Critiques et analyses des films à l’affiche, les dernières sorties cinéma critiquées par nos chroniqueurs.
Une fresque biographique scintillante et lénifiante ! « Fenêtre sur Four », « Délicieuse catastrophe », « Royal navet » ; autant d’expressions qui frôlant l’oxymore, attestent du dégoût généralisé de la presse mondiale pour Grace de Monaco, la dernière œuvre d’Olivier Dahan...
Une œuvre choc, ultra réaliste, implacable et touchante : l’histoire d’un animal sauvage et d’une rédemption orchestrée avec talent… Un film coup de poings à voir et revoir…
Lorsque l’on quitte le Tristesse Club au détour d’un plan final sublime, on ressort bousculé de cette prise de risque d’un cinéma français qui bouscule les codes et ose la subtilité à la lourdeur d’une comédie populaire normée.
Edge of Tomorrow reste généreux en termes d’action, survolté et boosté à l’adrénaline, en particulier la séquence de débarquement très impressionnante.
Maps to The Stars, une œuvre trash, malsaine, violente, qui doublée d’une réelle réflexion, saisit le spectateur par son manque de retenue et de culpabilité...
Avec La Crème de la Crème, Kim Chapiron achève sa trilogie des moins de 20 ans et s’en va sur un projet plus mature. Il réalise une œuvre implacable dans le paysage audiovisuel français et prend avec parcimonie toute l’essence du film de campus américain en ajoutant une bonne dose de comédie romantique et de cynisme.
2ème réalisation du vétéran Tommy Lee Jones (l’agent K de Men In Black), The Homesman cherche à assumer cette originalité dès sa tag-line en dépeignant selon cette dernière « le vrai visage du mythe américain », loin de la vision enjouée que John Wayne et consort nous ont donné il y a 60 ans avec gunfight ...
Blackout Total : Un After Hours dopé aux oestrogènes ! Entre des policiers bornés, peu compréhensifs et débiles, une bande de copine qu’on ne souhaiterait pas voir, des gamins obsédés par les seins...
Joe apparaît comme le récit d’un monde, crasseux, agonisant et désarticulé. Un monde ou errent sans âmes et sans but des humains, s’adonnant aux plaisirs et aux pulsions les plus basses et qui ne cherchent qu’à survivre et espérer de plus beaux lendemains.
Maléfique, c’est la performance ensorcelante d’Anjolina Jolie, mais aussi Robert Stromberg, qui crée un univers graphique pouvant passer en un instant d’une scène onirique au cauchemardesque.
X-Men : Days of Future Past s'appuie sur un script dense, le réalisateur Bryan Singer jongle tel un mécanicien avec les temporalités passé et futur...