En attendant la bande-annonce prévue pour la semaine prochaine, Orgueil et Préjugés et Zombies livre ses premières photos :
On connaissait le roman de Jane Austen, Orgueil et Préjugés, grand classique de la littérature anglaise. Voici quelques images du prochain film de Burr Steers (Igby Goes Down, Le Secret de Charlie, 17 Ans Encore), Orgueil et Préjugés et Zombies, tirée du roman de Seth Grahame-Smith, l’auteur d’Abraham Lincoln, Chasseur de Vampires.
Dans cette version épique et horrifique dont la sortie est prévue pour le 16 février 2016, la famille Bennet doit affronter des zombies au temps de la Régence Anglaise.
Pour Orgueil et Préjugés et Zombies, un casting de choix. Charles Dance (Game of Thrones) interprète le patriarche de la famille Bennet, expert en arts martiaux qui va entraîner ses filles au combat, tandis que Sally Phillips (Le Journal de Bridget Jones et Bridget Jones : L’âge de raison) campe son épouse, Mrs Bennet et que Matt Smith (Doctor Who) joue le cousin, Mr Collins.
Lily James (Cendrillon, Downtown Abbey) tient le rôle de la jeune héroïne, Lizzy Bennet, amoureuse d’un chasseur de zombies qui n’est autre que Mr Darcy, interprété par Sam Riley (Maléfique, The Dark Valley). Le casting des séduisantes filles Bennet est complété par Bella Heathcote (Dark Shadows), Ellie Bamber (The Falling), Millie Brady (Mr. Selfridge), Suki Waterhouse (Divergente 2: l’insurrection).
Interrogée sur les personnages, Lily James assure qu’elle préfère jouer les jeunes filles de bonne famille en train de polir des armes plutôt que de broder ou tricoter. Pour le rôle, elle s’est elle-même rebaptisée « la plus exceptionnelle chasseuse de zombies qui existe » !
Pour Ellie Bamber, Orgueil et Préjugés et Zombies est un film sur le « Girl Power », une œuvre féministe qui met en scène cinq puissants personnages féminins aussi forts que les hommes et très représentatifs de notre génération.
Selon le réalisateur Burr Steers, le film est plus qu’une simple parodie :
« L’idée était qu’Orgueil et Préjugés se déroule dans un monde alternatif et que tout le monde l’interprète sérieusement. Le gros « sous-entendu » du film, c’est qu’il n’y a pas de sous-entendu. Ce n’est définitivement pas le but. »