La compétition se clôt avec Dave made a maze, un film des plus inventifs où le carton et la créativité sont rois, ainsi que Kaleidoscope, où Toby Jones a des comptes à régler avec sa mère. Mayhem quant à lui termine la section Midnight dans un bain de sang jouissif.
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Inscrit12 septembre 2016
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Après 9 jours intenses de compétition, les différents jurys ont rendu leurs verdicts. C'est la comédie horrifique anglaise Double Date qui part grande gagnante de cette nouvelle édition en devenant le 10ème lauréat de l'Octopus d'or. En outre, Dave a made maze remporte le plébiscite du public et Laissez bronzer les cadavres pourra défendre les couleurs françaises à Sitges en gagnant le Méliès d'argent.
En dehors de la compétition, le FEFFS propose pour son 7ème jour, un polar coréen aux relents de jeu vidéo, et un midnight movie en terre rednecks. C'est également l'occasion de revoir sur grand écran, l'excellent Tetsuo, film culte du cyberpunk japonais.
Alors que la compétition touche bientôt à sa fin, c'est l'occasion de découvrir quelques belles surprises. Parmi lesquelles on note un thriller autrichien qui va s'amuser avec le cerveau des spectateurs, un film post-apocalyptique brésilien des plus contemplatifs et une comédie horrifique potache qui aura fait l'unanimité dans la salle.
Entre la desperate housewouaf de Bitch, le Mr Quiggle vivant dans l'anus de George Clinton dans Kuso ou les lamantins fascinant les personnages de Game of Death, la 6ème journée du FEFFS a été des plus particulières.
Alors que Mundruczo concourt pour un deuxième Octopus d'or, cette nouvelle journée de compétition met également en avant deux premiers films, le surprenant A Dark Song, et l’exécrable The Crescent.
La riche programmation du FEFFS nous permet de faire un bond dans le temps et de redécouvrir sur grand écran les classiques que sont L'Exorciste et Robocop. Avant de finir en beauté avec un midnight movie sanguinolent venu du Japon.
Début de la compétition pour ce troisième jour du FEFFS. Des films très différents allant de la S-F minimaliste aux claques esthétiques signées Cattet/Forzani avec en bonus un film de nunsploitation et un hommage au luchador.
Les serial killers sont de sortie lors de cette deuxième journée au FEFFS. Alors qu'un ado sombre dans la psychose après un accident regrettable, du côté d'Amsterdam, le chaos est semé par un homme-grenouille, un ascenseur et un lion.
Les hostilités ont commencé pour la dixième édition du FEFFS. Quoi de mieux qu'un clown kidnappeur d'enfants pour instaurer une petite trouille avec Ça avant de se lancer dans de l'humour trash en compagnie du duo hollandais Haars/Van der Kuil pour Ron Goossens, concentré de beauferie et de mauvais goûts.
Pour sa 10ème année d'existence, le FEFFS met les petits plats dans les grands. On y retrouvera du 15 au 24 septembre une programmation riche et éclectique faisant à la fois la part belle à de jeunes réalisateurs ainsi qu'à des grands noms du cinéma de genre. Il accueillera également en invité d'honneur le grand William Friedkin qui présentera son chef d'oeuvre maudit Sorcerer pour ses 40 ans.
Pour son avant-dernière saison, Game of Thrones met les bouchées doubles, quitte à perdre en subtilité. La série mise avant tout sur le spectaculaire dans une saison exceptionnelle où se côtoient moments épiques, gros fanservice et retournements de situation en tous genres.