Analyse de l'histoire des Blockbusters, un genre soumis à une recette scénaristique particulière, une structure en trois actes, boîte de pandore ou bien un mal nécessaire à la survie du 7ème art ?
PositionRédacteur LeMagduCiné
Inscrit3 septembre 2014
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J'ai une profonde admiration pour les sushis, James Bond, Leonardo DiCaprio, Apocalypse Now, Zodiac, les bons films et le ski. Pas forcément dans cet ordre.
Et à ceux pouvant critiquer un certain amateurisme, je leur répondrais simplement que l'Arche de Noé a été fabriqué par des amateurs et le Titanic par des professionnels.
Dans le film Alice au Pays des Merveille, on retrouve un univers mortifère et quasi apocalyptique, baignée par une noirceur et un ton grisâtre, personnages véhiculant une part de folie délirante..
Un techno-thriller à l’ambition démesurée, sublimée par une mise en scène virtuose mais alourdie par un scénario quelque peu convenu !
Auréolé outre-Atlantique d’un retour autant critique que public dithyrambique, le plaçant derechef comme un solide concurrent aux Oscars, et ce malgré son absence manifeste aux Golden Globes...
Captives, un film à la fois non-linéaire, mélancolique, paisible et glaciale, la mise en scène oscillant constamment entre Prisoners pour sa radicalité et son absence notable de lumière ou autre source de réconfort, et Fargo, pour son décor enneigé et statique....
Le Juge dénote la petite santé du cinéma américain, qui fort d’une année loin d’être aussi réussie en terme financier, retourne à ses basiques en espérant réveiller la flamme de l’excellence made in 70’s
Dans une fascinante odyssée oscillant entre space-opera, film catastrophe, physique quantique et drame familial, Interstellar de Christopher Nolan (Inception, la trilogie Batman) est un film qui se vit...
Ça commence par un mot. FURY, le nom du tank, le nom du film, taillé dans un rouge vif témoignant déjà du festival de violence, de rudesse et de saleté qui se prépare.
Et au milieu de toutes ces productions pétaradantes, dotées de morales héroïques et libertaires, sentant bien gros le gigantisme américain, arrive le petit nouveau, en la personne de The Maze Runner, sobrement intitulé en français, Le Labyrinthe.
Chef réputé, Favreau incarne ici un cuisinier dévoué pour son art, débordant de créativité malheureusement engoncé dans un système l’obligeant à contenir et à réprimer sa verve créatrice au profit de recettes hype commençant à dater et demeurant inamovibles, clientèle oblige.
Une toile de fond, un univers capital que cette ville du péché. Cette Babylon émanant le vice, la violence et le stupre, est le lieu de pérégrinations de flic, qu’ils soient ripoux ou intègres, tueurs, hommes d’églises, sénateurs, strip-teaseuse...
Délaissant la critique acerbe des dérives de la mondialisation présente dans The Constant Gardener, Un Homme très Recherché narre dans une ambiance atone et froide la paranoïa post 11 Septembre vue à travers les services secrets allemands...