C'est le premier scénario d'Abdel Raouf Dafri. Il fera beaucoup mieux plus tard avec Le prophète, où il retrouvera Tahar Rahim. Mais ici, la simplicité des diverses intrigues, les personnages manquant de psychologie, les nombreux clichés qu'ils véhiculent, ne plaident pas en sa faveur.
Inscrit11 mars 2013
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C’est la question qui se pose à la fin de cette saison 11 de N.C.I.S. Enquêtes Spéciales. En effet, sans être catastrophiques, les audiences ont connu aux U.S.A. une baisse sensible cette année, avec une moyenne de « seulement » 17 millions de téléspectateurs par épisode
L'ambiance générale est vraiment particulière, très proche des polars des années 50 et des thrillers d'Hitchcock. Ces personnages perdus dans leurs propres rêves, évoquent l’onirisme de David Lynch, qui dans beaucoup de ses films comme Mulholland drive, installe une ambiance assez étouffante voire malsaine pour le spectateur.
Dans ce chef d’œuvre, rien n’est superficiel tout est simple, léger et accessible. La mort les attend alors à quoi bon s’attarder sur ce qui ne fera que retarder le fruit de l’émancipation de leur existence...
Un bon divertissement pour tout public, chacun y trouvant son compte. Le spectateur n’est pas bombardé de chansons mièvres ; le graphisme est toujours aussi agréable, coloré, propre et efficace. Peut-être que l’ensemble manque juste un peu de folie et d'humour.
A voir pour Jude Law, mais vraiment si vous l'appréciez car en dehors de lui, il n'y a rien d'autre autour. Le pire, c'est qu’on on ne rit pas. Ce film sera vite oublié : un produit sans saveur, une œuvre secondaire.
The Major est un polar polaire glaçant sans concessions. Filmé sans trépied tout en demeurant compréhensible, il constitue une belle performance, dont certains cinéastes estampillés "Stars & Stripes" devraient s'inspirer
Pour les amateurs de cinéma d'action, de gunfight jusqu'à l'overdose, de héros qui sont censés mourir toutes les cinq minutes, de revolvers au barillet illimité, d'acrobaties improbables, de méchant qui a une vraie gueule de méchant, encore plus avec un œil en moins, même s’il n’est pas dénué de cœur. N'oubliez pas de ranger vos neurones, on a juste besoin de ses yeux pour apprécier la folie de la caméra de John Woo.
Silicon Valley ne se contente pas de nous faire rire, elle offre aussi une vraie trame. On suit avec plaisir la mise en place de leur start up, qui les fait basculer dans un monde moins calme que celui dans lequel ils se complaisaient et vont découvrir la compétition, les coups bas et autres difficultés pour se faire une place au soleil de Californie.
Save the Easy Company
Après "Il faut sauver le soldat Ryan", Steven Spielberg et Tom Hanks s'associent pour produire "Band of brothers" pour HBO, une mini-série de 10 épisodes sur l'histoire de la Easy Company de ses débuts jusqu'à la fin de la guerre, le tout avec des moyens digne d'une production hollywoodienne.
Critique Star Trek – Enterprise : ★★★☆☆, une serie avec un côté philosophique, de la diplomatie, la rencontre de nouvelles espèces ou encore le non-interventionnisme dans l’histoire des civilisations
Un nouveau membre de la famille Coppola rejoint le cercle assez fermé du cinéma. Il s'agit de Gia Coppola, petite fille de Francis Ford, le réalisateur du désormais culte, Le parrain. Gia nous offre, pour sa toute première réalisation, une critique de la jeunesse américaine...