Tout commence avec une chouette anamorphose, un petit jeu de perspective sympa, une image qui apparaît au regard en fonction de l'endroit (ou la manière) dont on la regarde.
PositionRedacteur LeMagduCiné
Inscrit2 septembre 2014
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Intéressé par tout, mais surtout n’importe quoi. Grand amateur de fantastique et de Science fiction débridé. Spécialiste Normand expatrié à Lille de la vague Sushi Typhoon (le seul qui s'en vante en tout cas). Je pense très sérieusement que l’on ne peut pas juger qu’un film est bon si l’on en a jamais vu de vraiment mauvais.
Qu'est ce qui plombe cette épisode ? Un manque de second degré principalement. Ce qui aurait pu donner une intrigue assez fun par son sujet délirant (comme l'avait fait avec brio Dinosaures on a spaceship)
Septième épisode de la saison, Kill the Moon réussi, malgré l'absence du fameux pull, à être à la fois fun, rythmé, original et intelligent. Ce qui n'est pas une mince affaire tant il nous semblait que tout avait été dit sur la lune.
The Caretaker se révèle être un épisode assez riche, prompt a faire avancer une intrigue qui avait tendance à stagner depuis quelques semaines.
Listen, l'épisode précédent, laissait augurer un avenir radieux pour cette nouvelle saison après des débuts un peu poussifs. Time Heist n'avait plus qu'a confirmer la tendance, malheureusement les défauts des précédents reviennent, et d'autres s'ajoutent à une liste qui commence à devenir assez dense.
Enfin le voilà ! Il aura fallu attendre ce quatrième épisode pour que le Docteur retrouve de sa superbe. Scénario malin qui s’amuse à balader le spectateur, interprétation parfaite, humour...tout les ingrédients qui faisait le succès de la série sont enfin de retour.
La première apparition du brigand au grand cœur annonce la couleur : Robots of Sherwood assume la légende et ne cherche pas le réalisme. On est beaucoup plus proche de la vision d'Eroll Flynn que de celle de Ridley Scott.
Hercules à le bon goût de ne pas se prendre au sérieux et l’intelligence de ne pas prendre son public pour des buses. Par des touches d'humours judicieusement placé pour ne pas devenir redondante, le blockbuster que l'on attendait burné et gonflé à la testostérone se révèle suffisamment roublard pour surprendre.
L'action démarre pleine balle dans l'espace, un vaisseau poursuivit par les daleks au milieu d'un champ d’astéroïde. Aux commandes de la navette, la jeune lieutenant Journey Blue qui tente de sauver son frère.
Nouveau docteur, nouvelle ère, ce premier rendez vous est donc primordial pour prendre la tension d'une série qui commençait à perdre de sa superbe après une saison 7 un peu en dessous des premières heures de Moffat aux commande du Tardis
Monstres pervers, nonnes sadiques et plan à trois avec zombies :
Si American Horror Story a marqué les esprits, c'est surtout grâce à un come back inattendu, celui de Jessica Lange qui incarne, avec une perversité communicative, la voisine inquiétante et envoûtante, un personnage hitchcockien qui semble toujours osciller entre l'animosité et l’empathie pour ses nouveaux « amis »
Où nous mène la folie des hommes ?
Cela fait maintenant trois ans, que Game of thrones s'est faite une place dans la culture populaire. Au fil des épisodes, nous découvrons le monde de Westeros, ses intrigues complexes, ses personnages haut en couleurs, sa violence et ses guerres de successions.