Inspiré grossièrement de "Mais qui a tué Harry?" du maître ventripotent sans l'humour noir et les bons acteurs que sont Shirley MacLaine, John Forsythe ou Edmund Gwenn, One of us cumule des clichés qui auraient tout à fait leur place sur les planches d'un théâtre, mais qui, agglomérés sur 60 minutes, finissent pas tirer sur le tendon d'Achille créant une sensation de fourmillement dans les jambes.
Inscrit14 août 2015
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Mes premières ambitions, à l'âge d'une dizaine d'années, était d'écrire des histoires à la manière des J'aime Lire que je dévorais jusqu'en CM2. J'en dessinais la couverture et les reliais pour faire comme les vrais. Puis la passion du théâtre pour m'oublier, être un autre. Durant ses 7 années de pratique dans diverses troupes amateurs, je commence des études d'Arts du Spectacle qui débouche sur une passion pour le cinéma, et un master, en poche. Puis, la nécessité d'écrire se décline sur les séries que je dévore. Depuis Dawson et L’Hôpital et ses fantômes de Lars Von Trier sur Arte avec qui j'ai découvert un de mes genres ciné préférés, l'horreur, le bilan est lourd, très lourd au point d'avoir du mal à établir un TOP 3 fixe. Aujourd'hui, c'est Brooklyn Nine Nine, Master of Sex et Vikings, demain ? Mais une chose est sûre, je vénère Hitchcock et fuis GoT, True Detective et Star Wars. L'effet de masse m'est assez répulsif en général. Les histoires se sont multipliées, diversifiées, imaginées ou sur papier. Des courts métrages, un projet de série télévisée, des nouvelles, un roman, d'autres longs métrages et toujours plus de critiques..?
Le festival, pour la 18ème année consécutive et malgré la démission de Quentin Raspail, tient à réunir tous les acteurs de la fiction, de la production à la distribution en passant par la composition musicale et les scénaristes au cours de focus, table ronde, dédicaces, ateliers et projections.
Amazon produit depuis 2013 ses propres séries en mettant à disposition plusieurs pilotes des projets qui verront le jour si le succès est au rendez-vous. [...] En cette rentrée 2016, le sort de 2 dramas et 3 comédies en est jeté. La rédaction se prononce sur ces 5 pilotes.
Cette adaptation sur grand écran par la Warner Bros d'une pépite de 2 minutes se conforme-t-elle aux clichés éculés des teen horror movies de cette dernière décennie ou réussit-elle vraisemblablement à divertir à l'instar des sagas horrifiques telles que Destination Finale ou Saw ?
Brillant de simplicité, cette comédie flirtant avec l'humour noir (ce que les anglais savent faire de mieux) est un bijou incomparable, faisant de notre propre misère, un gage sensationnel vers l'acceptation et l'accomplissement.
Lorsque les deux sœurs égocentriques de Cendrillon croisent la route de The Office, le conte ne peut qu'être hilarant. Comedy Central diffuse depuis le 15 juin 2016, la 2ème saison réunissant moins d'un demi million de téléspectateurs américains. On vous décrypte cette pépite.
Malgré quelques entrains surprenants, qui rappellent plus la mécanique rouillée de Crustacés et Coquillages de Ducastel et Martineau que les chorégraphies colorés des Demoiselles de Rochefort de Demy, et un hommage rendu aux ouvrières en grève des années 70, le film tout entier, finalement peu abouti, mériterait plus de...disparités. Zoom sur 1h20 d'une apologie avortée sur l'existence qui n'a rien de mémorable.
En 4 épisodes, 4 pays, Ellen et Ian ont réussi à démontrer l'absurdité d'un combat qui ne devrait pas en être un en nous faisant découvrir les politiques et les enjeux actuels LGBTQ au Japon, au Brésil, en Jamaïque et aux Etats-Unis.
Depuis la rentrée 2015-2016, pas moins de 23 programmes dits comiques ont été diffusés sur câbles et grandes chaînes. La rédaction a fait le tri et vous conseille LES 3 à ABSOLUMENT ne pas manquer !!!
Retour sur l'épisode New Year's Eve, "L'Abominable mariée" ("The Effroyable Bride") qui a rassemblé plus d'un million de téléspectateurs français et plus de 8 de l'autre côté de la Manche, faisant de ce programme, le plus regardé du week-end.
Les 4 épisodes manquent de recul et de rythme, ce qui a pour effet de délaisser le spectateur qui pourrait tout à la fois vaquer à une autre occupation sans perdre le fil, peu trépidant, des activités de Christina Reade.
Il était impossible de tout couvrir, même à deux rédacteurs, tant le contenu était riche et varié, surtout avec des séances intéressantes superposées. On suppose une ouverture plus importante l'année prochaine avec un chiffre record de 38 000 visiteurs à dépasser (sur 22 000 l'année passée). Venons-en donc aux faits, car on parle, on parle...