Mêlant suspense, action et humour, la série mise beaucoup sur un rythme très rapide qui ne laisse aucun temps mort.
Inscrit1 mai 2015
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"professeur de français, j'ai découvert le cinéma grâce aux films de Spielberg des années 80, mais je suis vraiment devenu cinéphile avec John Huston (Quand la ville dort) et Akira Kurosawa (Le Chateau de l'Araignée), Humphrey Bogart (Le Faucon Maltais) et Marlon Brando (Sur les quais). Appréciant aussi bien le cinéma classique que moderne, les séries des années 60 que celles des années 2010, c'est de la diversité que je tire mes plaisirs."
En apprenant le décès d’Alfredo, Salvatore adulte se replonge dans son passé. De même, lorsque les spectateurs replongent ce film, 26 ans après sa sortie, ils retrouvent intactes toutes les émotions d’alors.
La première impression que l’on a du Troisième Homme, c’est sa musique, signée Anton Karas, un air entêtant joué à la cithare et qui reste en mémoire pendant longtemps. Cet air va accompagner une histoire désabusée, cynique et qui refuse toutes les facilités habituelles du genre.
Le film, l'instinct de tuer, cumule les maladresses et les fautes de goût (quand ce ne sont pas des fautes cinématographiques). Ça commence par le scénario...
Même si Louis Malle a toujours nié faire partie de la Nouvelle Vague, Ascenseur pour l'échafaud porte quand même les marques du mouvement. Les extérieurs sont tournés en décors naturels avec une grande liberté dans les mouvements de caméra.
A l’instar d’un César qui prépare un cocktail parfaitement dosé (avec quatre tiers, certes, mais « ça dépend de la grosseur des tiers »), les auteurs du film parviennent à magnifiquement doser humour et drame pour que chacun alimente l’autre.
S'il a été "le fils de", Jacques Audiard est aujourd'hui un des plus grands cinéastes français. Exigeant avec lui-même et avec son cinéma, ses six premiers films ont récolté pas moins de 71 prix ! Probablement du jamais vu...
Z est un film remarquable, sobre, profond, efficace. Première partie d’une trilogie sur les dictatures (avec L’Aveu et État de siège, film injustement oublié), il montre avec minutie comment une démocratie peut facilement sombrer si on n’y prend pas garde.
Stalker est une série certes peu désagréable, qui peut se regarder comme un divertissement innocent, mais qui est d’une grande banalité, d’une grande absence d’ambition et qui échoue totalement à nous angoisser.
Le Miroir, sans vraiment le dire, parcourt les souvenirs d'Andreï Tarkovski. Derrière une apparence anarchique ce cache en fait une grande cohérence qui rappelle tout le génie de Trakovski.
L'Armée Des Ombres raconte le combat quotidien de citoyens normaux luttant pour résister à l'envahisseur nazie. Un combat où la mort est une question de chaque instant.