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"professeur de français, j'ai découvert le cinéma grâce aux films de Spielberg des années 80, mais je suis vraiment devenu cinéphile avec John Huston (Quand la ville dort) et Akira Kurosawa (Le Chateau de l'Araignée), Humphrey Bogart (Le Faucon Maltais) et Marlon Brando (Sur les quais). Appréciant aussi bien le cinéma classique que moderne, les séries des années 60 que celles des années 2010, c'est de la diversité que je tire mes plaisirs."
Alors que les films d'horreur se suivent et se ressemblent trop, Les Dossiers Secrets du Vatican va-t-il renouveler le genre ?
Doit-on forcément sauter sur tout ce que propose Netflix ?
Rambo a cette particularité de parler de la guerre du Viet-Nam alors que l’on n’en voit quasiment rien. Ted Kotcheff aborde le thème du difficile retour à la vie civile même si celui-ci n’est pas nouveau. Toujours est-il qu'avec ce premier opus, First Blood, on en prend plein les mirettes !
Strange Magic, un film très drôle. peuplé de personnages secondaires parfois hilarants (y compris des champignons pratiquant le téléphone arabe)
Un acteur de légende s'est éteint. Omar Sharif, une légende du cinéma, aux côtés de Peter O'Toole dans Lawrence d'Arabie (1962), célèbre pour son rôle dans Docteur Jivago (1965)...
Et si on vous promettait d'écrire un best-seller, à condition de s'allier à un tueur professionnel ?
En montrant le difficile retour au pays d'un soldat américain emprisonné au Viet-Nam, John Flynn s'interroge sur l'image du héros et fait un film sobre, sombre et violent qui a durablement influencé des réalisateurs comme Quentin Tarantino.
En adaptant Kurosawa, Sergio Leone nous livre un film baroque et jouissif, premier jalon de l'invention d'un style personnel unique qui marquera l'histoire du cinéma.
Sorti en 2012, Indian Palace, de John Madden (le réalisateur Shakespeare in love) constituait une agréable surprise dans l’univers de la comédie britannique. En faire une suite n’était absolument pas nécessaire, et pourtant cette seconde partie reste au même niveau que le film original et en possède les mêmes qualités.
Bosch n’est pas vraiment l’adaptation d’un roman, mais l’action de la première saison reprend et combine l’intrigue de plusieurs volumes écrits par Connelly. Cela permet d’avoir une affaire complexe qui a se poursuivre tout au long des dix épisodes de la saison.
Le Juge Fayard dit le shériff est avant tout le portrait d’un homme. Dès les premières images, nous voyons un personnage qui avance droit devant lui, sans s’arrêter, sans faiblir, certain de ce qu’il fait parce qu’il n’agit que selon sa conception de la justice.