PositionReporter LeMagduCiné
Inscrit27 septembre 2014
Articles356
Commentaires2
En octobre, de nombreux films français sont sortis en salle. Malgré les derniers états généraux, plutôt alarmistes, et tous les bouleversements que connaissent nos cinémas au regard de leur fréquentation en baisse,  retour sur Un beau matin (Mia Hansen Love), L'innocent (Louis Garrel), L'origine du mal (Sébastien Marnier) et Novembre (Cédric Jimenez), et preuve d'une vivacité hexagonale en matière de cinéma !
Le FIFF Namur se poursuit avec ses projections quotidiennes, ses rencontres... et sa version en ligne ! Nous avons pu découvrir cinq nouveaux films de fiction et documentaires : Askhal de Youssef Chebbi (compétition 1ères œuvres), Le film de mon père de Jules Guarneri (compétition 1ères œuvres), Trois nuits par semaine de Florent Gouëlou (compétition 1ères œuvres), Sœurs de combat de Henri de Gerlache (place au doc belge) et Nous, étudiants ! de Rafiki Fariala (compétition 1ères œuvres). Retour sur ces projections.
fiff-namur-petites-film-critique
La 37e édition du Festival International du Film Francophone de Namur a débuté vendredi 30 septembre par la projection en ouverture de L'Innocent de Louis Garrel. Au Mag du Ciné, nous sommes accrédités en ligne et ne pouvons donc découvrir qu'une sélection de neuf films des catégories : compétition officielle, compétition  première œuvre, les pépites,  place au doc belge. Retour sur les premiers visionnages : Petites de Julie Lerat-Gersant (1ere œuvre), Les Grands Seigneurs de Sylvestre Sbille (pépites) , Men of deeds de Paul Negoescu (compétition officielle) et Les Femmes préfèrent en rire de Marie Mandy (doc belge).
Charger la suite TÉLÉVERSEMENT 1 / 1 – les-enfants-des-autres-rebecca-zlotowski-critique.jpg DÉTAILS DU FICHIER JOINT les-enfants-des-autres-rebecca-zlotowski-critique
Les Enfants des autres est avant tout une déclaration d'amour à une actrice qui n'a (presque) jamais été aussi bien filmée. Virginie Efira est ici lumineuse, vivante, en mouvement, sans lourdeur aucune. Quand la lourdeur pointe le bout de son nez, le scénario la balaye, les dialogues aussi. Cette histoire de famille recomposée, d'amour aussi, est surtout celui de la belle-mère, oui la marâtre des contes de fée, ici transformée en une femme qui veut aimer, trouver sa place et surtout, pourquoi pas, laisser une trace...
Catherine Deneuve et Chiara Mastroianni sont mère et fille à la ville et parfois à l'écran. Elles ont été réunies pour la dernière fois dans La dernière folie de Claire Darling où elles jouaient une mère et sa fille. Mais c'est aussi des réalisateurs comme Arnaud Desplechin ou André Téchiné, dont Catherine Deneuve est une habituée qui les ont réunies au cinéma. Retour sur quelques-uns de ces films dans le cadre de notre rétrospective de la carrière de Catherine Deneuve.
la-page-blanche-film-critique-cinema
Bien calibré "comédie romantique à la française", La Page blanche surprend rarement mais pioche du côté de la douceur (merci Sara Giraudeau) pour dire tout simplement qu'il est toujours possible de réinventer sa vie (même sans perdre la mémoire). Avec un personnage féminin jamais figé, toujours en mouvement, le film dresse un portrait souvent très drôle d'une fille qui se cherche. Dommage qu'il faille toujours en passer, pour l'héroïne, par la case "trouver l'amour".
La Mouette est une pièce de théâtre russe écrite par Anton Tchékhov en 1896. L'œuvre n'a pas cessé depuis de résonner et d'être adaptée. Portée par des personnages "comme nous", La Mouette est une pièce tragique bien que décrite par son auteur comme une comédie. On y retrouve notamment la symbolique forte de ce petit oiseau blanc et gris qui n'a qu'un rêve : la liberté, mais qui une fois sur terre se retrouve empêtré tel l'Albatros de Baudelaire. Analyse dans le cadre de notre cycle consacré à la littérature russe.
Le festival Passeurs de films se déroule chaque année sur l'île aux Moines (Bretagne) le dernier week-end de juillet. L'occasion, depuis quatre ans, de découvrir trois films en avant première dans le parc du château du Guerric. Cette année, les spectateurs ont pu découvrir Les Miens (Roschdy Zem), Les Pires (Lise Akoka et Romane Gueret), Les Amandiers (Valéria Bruni Tedeschi). Le documentaire Histoire d'un regard (Mariana Otero) a également été diffusé en complément d'une exposition (dans les rues de l'île) de photos de Gilles Caron. Retour sur ces quelques films.