Le Festival de Deauville poursuit sa présentation des films en compétition avec The Last Son de Tim Sutton, We are living things d’Antonio Tibaldi et La proie d’une ombre de David Bruckner. Un western, un drame touchant à la science-fiction et un film d’horreur qui révèlent la diversité de la sélection de cette édition 2021.
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Émerveillée par le cinéma depuis le Roi Lion, mon premier film en salle, j’aime les films qui font rêver, qui hantent et ne nous quittent jamais. J’admire particulièrement la richesse des œuvres de Stanley Kubrick, Christopher Nolan et Quentin Tarantino. Je suis également une adepte du cinéma asiatique, de Yasujiro Ozu, Akira Kurosawa à Wong Kar-Wai, Hayao Miyazaki et Park Chan-Wook. Travaillant dans le monde juridique, j'écris des critiques à mes heures perdues.
Au Festival de Deauville, la compétition continue avec Pleasure de Ninja Thyberg et Pig de Michael Sarnoski. Deux films détonants qui nous immergent dans des univers singuliers : l’industrie pornographique américaine et la forêt d’un ermite chasseur de truffes. Le Festival nous a également donné l’occasion de découvrir JFK L’enquête, le documentaire d’Oliver Stone levant le voile sur les dossiers déclassés de l’assassinat de Kennedy.
Ce samedi 4 septembre, le Festival de Deauville a ouvert la compétition avec le film Blue Bayou réalisé par Justin Chon. Il nous a également offert en avant-première Stillwater et Flagday, le nouveau film de Sean Penn. Hasard de la programmation ou parti pris organisationnel, ces trois films abordent le thème de la famille et plus particulièrement les relations père-fille. Retour sur cette première journée du Festival, au cœur des familles déchirées.
Pour fêter dignement le retour du cinéma, LeMagDuCiné revient en juin sur les grands moments de festivités au septième art. Si la fête représente souvent un moment de cérémonie et de joie, elle cache parfois des messages et des émotions plus complexes. Une situation qu’évoque particulièrement The Great Gastby de Baz Lurhmann, dont les scènes de fête constituent des séquences au faste et aux couleurs mémorables.
Depuis toujours, l'amour combat les frontières, qu'elles soient géographiques, morales, politiques, raciales ou sociétales. Le cinéma témoigne largement de ces histoires de coeur contrariées, critiquées, jugées répréhensibles ou interdites, et ce en particulier pour les couples "mixtes", où les deux partenaires appartiennent à différentes ethnies. De La flèche brisée à Pocahontas, Devine qui vient dîner... à Loving, les films sont devenus un vecteur essentiel d'évolution des moeurs, d'acceptabilité sociale et de lutte contre le racisme. Analyse.
Last Words et Teddy, deux films présentés aux Festivals de Cannes et de Deauville, bénéficient d'une véritable vision d'auteur et rendent chacun hommage au cinéma. Au programme, une fable post-apocalyptique écologique et une comédie horrifique sur l'adolescence.
Le Festival du cinéma américain de Deauville nous a fait découvrir de bons films lors du premier weekend. Retour sur le début de la compétition avec Minari, The Assistant et Uncle Frank, trois drames traitant respectivement du rêve américain, du harcèlement des femmes au travail et de l'acceptation de l'homosexualité.
Lorsque l’on parle de cinéma, on pense presque toujours d’abord à l’image. Le septième art se découvrirait et se vivrait avant tout avec nos yeux. Pourtant, un autre de nos sens, souvent sous-estimé, occupe un rôle essentiel dans notre expérience des salles obscures : le son, le premier sens que nous percevons avant même notre naissance. C’est bien grâce au son que nous plongeons dans un univers cinématographique donné, et plus largement, que nous ressentons et frissonnons. Que serait en effet une scène d’action sans le sifflement des balles, le retentissements des explosions, les vibrations des vaisseaux ? A l’occasion de ce mois consacré aux techniciens du cinéma, LeMagduCiné revient sur le travail indispensable des ingénieurs du son dans la réalisation et l’appréhension d’un film.
Parfois jugés trop longs, fastidieux par la pléthore de leurs complots et joutes politiques complexes, les dramas historiques coréens peuvent de prime abord rebuter. Pourtant, le genre mérite vraiment d’être étudié et cette période de confinement représentait l’occasion idéale. Les deux dernières années nous ont offert deux dramas magnifiques, haletants et particulièrement riches, Mr. Sunshine (2018) et My country (2019). Un peu plus ancien, Empress Ki (2013) reste le grand classique de la catégorie. Par le prisme de ces trois dramas d'exception, procédons à une petite analyse des thèmes, figures et esthétismes élevant ces séries au rang de chefs d’oeuvre presque sans défaut.
L’immanquable Millennium Actress, réalisé en 2001 par Satoshi Kon, arrive enfin sur grand écran ce mercredi 18 décembre. Véritable déclaration d’amour au cinéma, chef d’œuvre de l’animation japonaise, Millennium Actress est une œuvre à découvrir ou à redécouvrir.
En attendant la sortie de l’épisode IX de Star Wars, intéressons-nous aujourd’hui aux règles fascinantes et rigoureuses de l’ordre Jedi. Rempli de sagesse, mais aussi de faiblesses et d’échecs, l’enseignement Jedi, qui a connu son âge d’or à l’ère de la seconde trilogie, semble désormais en danger d’extinction. Retour sur les préceptes, les limites et le devenir de ces traditionnelles valeurs Jedis, à l’héritage incertain.
La science-fiction des années 2010 a été marquée par un essor fulgurant des blockbusters, une reprise assumée d’anciennes franchises et quelques, mais très intéressantes, propositions d’auteur originales ou avant-gardistes. Un genre devenu hybride, souvent balisé, parfois inventif, aujourd'hui entre renouveau et recommencement.