Toujours friand de sensations fortes, CineSeriesMag vous fera vivre de l’intérieur la 4ème édition du Paris International Fantastic Film Festival (PIFFF), qui se déroulera du 18 au 23 novembre 2014...
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2001 s’ouvrait sur un écran noir : c’est pour le rouge qu’opte Orange mécanique.
2001 nous transporte vers l’émotion des choses premières, nous décroche un temps du sol pour contempler depuis l’espace notre solitude, et nous inviter à un voyage dont nos rétines dilatées ne reviendront jamais totalement.
Puisque les producteurs ne se lassent pas de faire des films de la même façon, forcément, les arguments contre finissent par se ressembler.
À l’occasion des 10 ans du festival Augenblick, le cinéaste Werner Herzog, sera présent le temps d’un week-end, les vendredi 14 et samedi 15 novembre pour rencontrer le public
Rions donc en attendant la fin du monde : les dirigeants de la planète ont tout prévu, au point de confier aux ordinateurs le soin de nous détruire, ultime force de dissuasion qu’on avait simplement omis de communiquer à l’ennemi.
Lolita est un film composite, à la fois dépendant du carcan littéraire de l’illustre roman qu’il adapte, et de celui d’une censure qui va brider ses ambitions. Le film s’attache surtout à dresser le portait d’une société américaine (on pense aux Chaines Conjugales de Mankiewicz) oscillant entre puritanisme et libération sexuelle.
Le Meufisme, c’est « un programme social fait par, pour et avec d'la meuf, pour qu'enfin la nana lambda fasse entendre sa voix ».
Il Est Difficile d’Être Un Dieu est un film complètement fou, certainement le film le plus fou de ce début 2015, un voyage sensoriel à ne pas rater...
Tout le monde le sait, l’incursion de Kubrick dans le monde très codé du péplum n’a rien d’un choix personnel : c’est un tremplin à sa carrière et un remplacement de dernière minute pour le projet de Douglas construisant un film à sa gloire.
Andrea Di Stefano ne réussit pas sa première réalisation et sans la présence de Benicio Del Toro, elle serait passée inaperçue. Il se contente de raconter son histoire, n'enthousiasmant ni par sa réalisation, ni par son scénario.
La force dénonciatrice des Sentiers de la gloire est telle qu’on pourrait être tenté d’oublier le cinéaste aux commandes. En effet, difficile de rester insensible face à cette charge contre le système militaire en temps de guerre, qui valut au film d’être privé de diffusion pendant 18 ans en France.