Le créateur de Dexter s’intéresse cette fois-ci à l'univers de la cuisine avec Feed The Beast, où l'on suit deux amis dans la création de leur restaurant, aboutissement d'un projet longtemps laissé de côté. Si le thème principal ainsi que l'interprétation sans faille du trio de tête engendrent un attachement particulier vis-à-vis de la série, cette dernière pêche par un manque d'identité véritable.
Inscrit21 novembre 2015
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Grand passionné de cinéma depuis mes 3 ans, âge auquel j’ai pour la première fois mis les pieds dans une salle de cinéma (Aladdin !), je n’ai depuis cessé d’alimenter mon amour vis-à-vis du septième art.
A travers des critiques ponctuelles, des discussions endiablées entre passionnés et amis, de nombreux achats d’objets collector et de sorties, cet art est devenu un réel besoin ne demandant qu’à être assouvi encore davantage. Ayant un double diplôme dans la finance et la comptabilité à Nancy, je travaille actuellement dans une boite de BTP en tant que responsable administratif. Mais fort heureusement, le cinéma ne m’a jamais réellement lâché, l’écriture me permettant de transmettre les rouages et mécanismes de ma passion.
Le nouveau né des studios responsables des deux Moi, Moche et Méchant et des Minions souhaite rendre hommage à nos amis les bêtes en leur imaginant une aventure hors de leur confort habituel, lorsque leur propriétaire ont le dos tourné. Bien que manquant d'une certaine rigueur au niveau de l'écriture, le film se suit néanmoins avec plaisir grâce à sa galerie de personnages et une qualité esthétique remarquable.
Pour son premier long métrage, Rafa Martinez choisit le thème du slasher sur fond de contexte économique et social difficile en Espagne.
Pour son nouveau long métrage, Elie Chouraqui choisit d'adapter le roman de Fabrice Humbert, L'Origine de la violence, récit d'un homme enquêtant sur sa famille dont le passé fourmille de secrets, notamment pendant la période la plus sombre de l'Histoire, la déportation et les camps de concentration.
Julien Leclercq nous propose avec Braqueurs un film policier dans la plus pure tradition du genre. Disposant d'un scénario simple mais jamais simpliste, d'une réalisation efficace et d'une interprétation convaincante, Sami Bouajila et Guillaume Gouix en tête, le film est une proposition des plus réussies du cinéma d'action français.
Les Visiteurs – La Révolution est un retour plutôt raté de nos deux aventuriers hors du temps. Ne se reposant que sur ses acquis, tant du niveau des gags que de certains aspects techniques comme la musique, le long métrage se révèle être paresseux, dont les seules innovations apportent certes une certaine cohérence à l’ensemble, notamment du point de vue historique et de la continuité de l’histoire originelle, mais entraînent le plus souvent l’ennui chez le spectateur.
S'est achevée ce week-end la 66e édition de la Berlinale, avec comme grand vainqueur de l'ours d'or le documentaire italien Fuocoammare de Gianfranco Rosi, traitant du malheur des réfugiés de Lampadusa à travers les yeux d'un jeune garçon de 12 ans
La famille Tuche est de retour pour une nouvelle aventure familiale les menant cette fois ci de l'autre côté de l'Atlantique, à la conquête de l'ouest. Composé de la même équipe technique et artistique après le premier opus de 2010, que nous réserve cette suite et la découverte du continent américain à travers les yeux des Tuche?