La Déchirure, un coup de maître pour un réalisateur débutant et un témoignage bouleversant.
Inscrit30 août 2022
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Quand le western spaghetti veut tirer sa révérence, il le fait avec classe et nostalgie, en réunissant deux stars du genre sous l’égide de l’un de ses plus grands réalisateurs. Il en résulte un film étrange, partagé entre dérision, hommage sincère et émotion.
Une superproduction qui fait jeu égal avec ses homologues américains. Mais nous dresse surtout une vision des évènements de la France gaullienne.
Il s’agit d’une adaptation de l’œuvre de Raymond Chandler aussi tardive que singulière par un cinéaste américain à l’apogée de sa carrière. Un film singulier qui en dit sans doute plus sur son époque que sur l’univers du célèbre romancier.
Le plus singulier des cinéastes américains pose un regard désabusé et contemplatif sur la vie quotidienne d’une petite ville frontalière des Etats-Unis et passe en revue différents thèmes humains sensibles. Il en résulte un film inclassable et très caractéristique de son auteur.
Hitchcock revient à son genre de prédilection pour son avant-dernier film en adoptant les éléments en vogue durant cette décennie. Le film, Frenzy, sort alors que l’influence du géant britannique s’est imposée, y compris auprès de cinéastes majeurs.
Gallipoli, un film de guerre traitant davantage des rapports humains et de l'apprentissage que de la guerre par une équipe australienne alors prometteuse portant le cinéma de leur pays.
Quand un réalisateur mythique s’attelle à l’adaptation d’une nouvelle policière sombre et pessimiste, il produit un polar désabusé annonciateur de ce qu’allait être la décennie suivante au cinéma.
Pas moins de quatre réalisateurs et une pléiade de stars se sont rassemblés pour donner vie à ce monument du film de guerre qui demeure encore aujourd’hui un classique indépassable. Le déroulé de l’opération Overlord y est raconté avec minutie, précision et grand spectacle à l’ancienne.
Andrzej Wajda, patron du cinéma polonais, clôt sa trilogie de la résistance nationale sous l’occupation allemande avec Cendres et diamant, un film-témoignage devenu une étape charnière du cinéma d’Europe de l’Est dans le contexte de la déstalinisation et de l’affirmation nationale dans le Bloc de l’Est.
Le réalisateur le plus emblématique de Pologne s'empare d'un sujet brûlant de l'histoire de son pays dont il fut lui-même un participant pour réaliser le deuxième volet d'une trilogie de la guerre. Poignant, tragique et mystérieux, Ils aimaient la vie (Kanał) synthétise magnifiquement le cinéma de son auteur.
Quand un officier de l'armée américaine rencontre une population traditionnelle dans une jungle reculée en pleine Guerre du Pacifique, sa vie et le destin de ce peuple sont bouleversée. Un destin individuel hors norme mêlé à la grande Histoire humaine.