Avant le palmarès et la clôture de l’Étrange Festival, il est temps de porter un regard sur quelques étonnants films qui même s'ils ne sont pas tous des réussites, bénéficient de singuliers points de vue.
PositionRédacteur LeMagduCiné
Inscrit17 mai 2015
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Passionné de cinéma depuis mon plus jeune âge, j'articule depuis ma vie autour du 7ème art, un monde qui alimente les passions et pousse à la réflexion. J'aspire à faire une carrière dans le cinéma, ayant un certain attrait pour l'écriture et la réalisation. J'aime m'intéresser et toucher à toute sorte d'arts ayant fait du théâtre et de la musique. Je n'ai pas de genres de films favoris, du moment que les films qui les représentent sont bons. Même si je tire évidemment mes influences de cinéastes particuliers à l'image de David Lynch, mon cinéaste fétiche, Michael Mann ou encore Darren Aronofsky. Ces cinéastes ayant en commun des univers visuels forts et un sens du romantisme qui me parlent particulièrement.
Pour cette nouvelle brochette de films, l’Étrange Festival apporte divers regards sur le drame humain dans tous ses aspects et affirme ses thématiques autour d'une masculinité toxique.
On continue les découvertes à l’Étrange Festival avec le survival minimaliste The Boat, le superbe home invasion Furie et le paresseux The Wretched, un film d'horreur folklorique américain.
Pour le deuxième jour, l’Étrange Festival joue la carte de la fresque historique avec Shadow suivi du drame Monos et le film d'horreur Vivarium avec Imogen Poots et Jesse Eisenberg.
Au programme de l'ouverture des 25 ans de l’Étrange Festival, une série Z XXL où démons et applications de smartphone font bon ménage, et l'errance tourmentée d'une jeune artiste en panne d'inspiration qui s'enfonce dans la noirceur d'un L.A. nocturne.
L’Étrange Festival fête ses 25 ans avec une impressionnante sélection de films qui célèbrent toujours plus le cinéma de genre, et s'entoure d'invités prestigieux pour rythmer ses 10 jours intensifs de cinéma
Ne dépassant jamais son gimmick narratif du méchant Superman, Brightburn loupe son potentiel pour n'être qu'un slasher par moments efficaces mais qui tourne vite en rond et ne parvient jamais à créer la surprise.
Se rêvant en Roi des monstres, ce Godzilla 2 est surtout le prétendant au titre du pire film de l'année. Brouillon, stupide et mal joué, un total calvaire.
Retour en forme pour Keanu Reeves avec un John Wick Parabellum jouissif et inventif par son action sidérante, même si celle-ci est rattrapée par un scénario plus artificiel que par le passé.
Simetierre version 2019 est un ratage malheureux qui dépeint une horreur édulcorée et sans génie, dans un film qui échoue à réinventer l'histoire de King et à renouer avec sa formidable profondeur.
J. C. Chandor s'attaque avec Triple Frontier à une grosse production sans égratigner son cinéma. Film sur la duplicité et l'éthique où règnent la corruption du capitalisme et l'avidité des hommes. Il mélange les genres pour un rendu brut, sophistiqué et incarné.
The Highwaymen est un divertissement efficace mais peu mémorable, où le charismatique duo d'acteurs principal et la réalisation impeccable ne cachent pas les longueurs et l'aspect trop classique du film.