Critique du film d'animation Batman : The Killing Joke de Sam Liu. Une adaptation du célèbre comics d'Alan Moore et de Brian Bolland qui a partagé les fans malgré son aspect pensé et travaillé.
Inscrit4 septembre 2014
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Se droguant avec Jurassic Park, Les Dents de la Mer, Independence Day, E.T. et Indiana Jones à l'âge de 6 ans (même moins pour certains), autant dire que le cinéma était une passion d'emblée. Qui continue à s'élargir au fil des années, à tel point que j'espère un jour en faire mon métier (scénariste, réalisateur, critique... tout est bon !). A mon actif, quelques montages vidéos et un semblant de court-métrage en réserve, je préfère toutefois encore plus m'enfouir dans une salle de cinéma et me laisser transporter par ce que propose le grand écran. Que ce soit un plaisir coupable comme les comédies musicales ou les gros blockbusters d'un certain Michael Bay (je sens la foudre s'abattre sur moi !). Ou bien de véritables chefs-d'oeuvre. Quoiqu'il en soit, du moment que c'est signé par Nolan, Cameron, Spielberg et Burton, je fonce littéralement payer mon ticket.
Bien loin de la fable écolo tout belle et toute mignonne qu’elle aurait pu être à l’instar de Loup, le film de Jean-Jacques Annaud se présente comme une œuvre [...] majestueuse, à l’image des nombreux loups qui redonnent à leur cinéaste toutes ses lettres de noblesse.
Censé faire oublier les premiers essais cinématographiques du tueur au code barre, Hitman : Agent 47 enfonce encore plus le clou en se présentant au public comme un grand n’importe quoi se voulant spectaculaire et explosif.
La version longue de ce troisième opus n’apporte pas grand-chose au montage initial, si ce n’est plus d’amusement et de fan service. Quand on sait que pour Le Seigneur des Anneaux, chaque ajout améliorait les films initiaux, il y a de quoi être déçu par la trilogie du Hobbit
Pas sûr que les fans les plus assidus de l’humoriste puissent avoir leur compte avec ce long-métrage. Pourquoi j’ai pas mangé mon père a beau partir d’une idée novatrice pour le cinéma français, il n’est finalement rien d’autre qu’un cuisant échec sur bien des points.
Il aurait pu se présenter comme un Independence Day loufoque ou, dans le meilleur des cas, une sorte de Mars Attacks ! flirtant avec les jeux vidéo [...] juste une comédie estampillée Adam Sandler.
Les Profs premier du nom ne volait pas bien haut, sa suite loupe les rattrapages en beauté. Bien plus paresseuse et molle, ne se reposant que sur ses têtes d’affiches et le succès de son prédécesseur
Un divertissement horrifique ne parvenant jamais à faire peur ni même à provoquer ne serait-ce qu’un soupçon de tension, même avec le ridicule dit spectaculaire et la 3D en options.
Mort-né dès la diffusion de l’épisode pilote, Constantine aura toutefois su convaincre les curieux qui, encore aujourd’hui, désirent qu’une saison 2 voie le jour, vu les qualités de divertissement évidentes qui se dégageaient de la série.
Une parodie qui ne tombe jamais dans la surenchère et le lourdingue, se moquant avec intelligence, justesse, jubilation et même douceur d’un genre qui se singe lui-même au fil des longs-métrages.
Moins prenant et angoissant que son prédécesseur, Sinister 2 se présente aux spectateurs comme un film d’horreur tout ce qu’il y a de plus conventionnel et qui ne fera nullement date dans ce style de cinéma.
Si le charme opère toujours au point que Les Minions se présente tel un divertissement sympathique et plaisant à regarder, la sauce a tout de même du mal à prendre.