Jacques Doillon fait vaciller nos coeurs dans Rodin, réel tourbillon entre création et passion.
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Inscrit14 mars 2017
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Le septième art est un rêve et une passion depuis quelques années déjà. Amoureuse des mots et du cinéma, lier les deux fait partie de mes petits plaisirs. Je rêve souvent d'être derrière la caméra pour raconter des histoires et toucher les gens mais en attendant, je l'écris et je me plais à le faire. Je suis particulièrement sensible au cinéma français ou au cinéma contemplatif dans sa généralité, ce qui compte c'est de ressentir. Les émotions guident mes passions et le cinéma ne déroge pas à la règle, bien au contraire.
Critique de Love, Simon (en salle dès aujourd'hui) : Le film contourne le teen-movie pour porter la voix de la communauté LGBT dans un monde adolescent où la peur des regards dicte la loi. Greg Berlanti surprend dans son traitement aussi sérieux que comique et réussit à toucher le public.
Critique Woman at War, de Benedikt Erlingsson : le film se veut défenseur d'une nature pure souillée par l'industrie avec une Artémis moderne en porte parole de l'écologie et une originalité qui intéresse.
Critique du film Désobéissance, de Sebastián Lelio. Le film est rempli de qualités notamment dans la sobriété de sa mise en scène et son traitement de la liberté mais on s'attendait à mieux en voyant Rachel McAdams en épouse juive orthodoxe.
Le Festival de Cannes a fermé ses portes hier soir après deux semaines de cinéma intensif sous une cérémonie de clôture plutôt étrange, avant l'habituelle dernière conférence de presse.
Cannes 2018 : Si à l'applaudimètre, Capharnaüm a toutes ses chances de remporter la Palme d'Or ce soir, que vaut vraiment le quatrième long métrage de la libanaise Nadine Labaki ?
Rien de nouveau dans le cinéma d'Amérique latine qui se contente de traiter une fois de plus des barons de la drogue. Loin de déplaire Comprame un revolver manque suffisamment d'originalité pour passionner.
Cannes 2018 : Carmen y Lola offre une belle histoire entre deux adolescentes et révolte la Quinzaine des Réalisateurs. Arantxa Echevarria a toutes les chances de remporter la Caméra d'Or.
Présenté à la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes 2018, "En liberté !" offre des éclats de rire à toute la salle. Pierre Salvadori réalise un long métrage hilarant qui mêle thriller et comédie de manière loufoque.
Quatrième collaboration pour le duo Brizé/Lindon qui retrouvent leur hargne sociale, trois ans après La Loi du Marché, pour un film percutant et réussi pour lequel on ose déjà espérer un nouveau prix d'interprétation masculin.
Cannes 2018 : Le réalisateur de Fatima, Philippe Faucon, livre un nouveau film en mettant en scène un héros ordinaire, immigré sénégalais. Amin n'est pas une révolution dans son cinéma mais reste juste dans ce qu'il veut dire du monde.
Sélection en compétition officielle, le cinéaste japonais Ryusuke Hamaguchi n’exploite pas son sujet en profondeur dans son film Asako. L’œuvre promettait une belle histoire pleine de tendresse mais n’offre que des longues scènes sans réel but.