En ce mois de décembre, Le Mag du Ciné vous propose un cycle sur l’art comme élément secondaire d’une œuvre, et ce que cela apporte au film, livre, série, etc. Cet article, sans se concentrer sur un seul titre, se propose d’analyser, de manière transversale, le rôle et les intentions prêtées à l’art, lorsqu’il n’est pas sujet ou acteur principal d’une œuvre.
L’art comme élément secondaire d’une oeuvre
L’art comme élément secondaire d’une oeuvre
Ces articles s’intéressent à ce qu’apporte l’art dans une oeuvre quand il est traité comme élément secondaire. Marqueur social, intellectuel, élément de differenciation… L’art comme toile de fond ou élément partiel d’un film, livre, série, etc. apporte toujours une dimension supplémentaire que nous analysons ici à travers différents exemples.
Le long-métrage de Juan Antonio Bayona tient sa force dans ses récits, donnant vie à des peurs ignorées sous forme de fables en aquarelle.
En ce mois de décembre, leMagduCiné propose une immersion dans la création artistique comme toile de fond d’une œuvre cinématographique. Pour lancer ce nouveau cycle, commençons par revenir à l’origine même de tout film : l’écriture. A ce titre, la Palme d’or du personnage d’écrivain torturé revient incontestablement à un certain Jack Torrance pour l’horrifique Shining de Stanley Kubrick, adaptation du roman éponyme de Stephen King. Shining aborde grâce au personnage de Jack toute l’apprêté, la solitude, l’engagement et le sacrifice qu’implique la création artistique.