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Le "Nosferatu" de Friedrich W. Murnau, sorti en 1922, constitue la première adaptation conservée du roman de Bram Stoker. Un remake daté de 1979, "Nosferatu, fantôme de la nuit", sera ensuite réalisé par Werner Herzog. C'est ainsi que Max Schreck et Klaus Kinski vont s'opposer, à deux, à une nuée de Dracula campés par Bela Lugosi, Christopher Lee ou encore Peter Fonda. Les représentations du comte dans ces films vont tellement varier qu'il nous semblait intéressant, dans le cadre d'un cycle dédié aux vampires, de les analyser, avec pour principal outil, au-delà des films, un essai d'Olivier Smolders intitulé "Nosferatu contre Dracula".
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La nature au cinéma n'est pas toujours que "luxe, calme et volupté" et ce ne sont pas les héros d'Into the wild, La vie pure ou encore The lost city of Z qui diront le contraire. La nature devient alors pour eux un territoire de solitude. Pourtant, ils partaient en quête de gloire ou de bonheur et se retrouvent face à eux mêmes et au besoin de partage. De quoi nourrir notre cycle sur la nature au cinéma.
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Que ce soit dans Shining, Misery ou la Part des ténèbres, les romans de Stephen King et les films qui en sont les adaptations sont peuplés d'écrivains et parlent des problèmes liés à l'écriture romanesque. Depuis la solitude nécessaire à l'écriture jusqu'aux rapports parfois compliqués avec les fans, les protagonistes illustrent les difficultés rencontrés par les écrivains.
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Pour fêter dignement le retour du cinéma, LeMagDuCiné revient en juin sur les grands moments de festivités au septième art. Si la fête représente souvent un moment de cérémonie et de joie, elle cache parfois des messages et des émotions plus complexes. Une situation qu’évoque particulièrement The Great Gastby de Baz Lurhmann, dont les scènes de fête constituent des séquences au faste et aux couleurs mémorables.
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Il faut d’abord confesser que sortie en 2004, Veronica Mars est un sérieux plaisir coupable d’ados. Parce qu’on adorait aimer-détester Logan, parce que Veronica était vraiment trop forte et impertinente ! On passera sur l’existence récente d’une saison 4 plus que discutable (Logan !), mais force est de constater que pour une série d’ados, Veronica Mars se pose en petite pépite réjouissante sur les affres d’une période de lycée pas toujours ragoûtante ! A découvrir dans le cadre de notre cycle sur les séries de notre enfance.
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Quand le cinéma s’empare du sujet de l’école, c’est aussi et avant tout pour parler de la société. En effet, qui peut prétendre aujourd’hui que les deux ne sont pas intimement liées ? Dans son dernier film, La vie scolaire, Grand Corps Malade parle autant d’un collège REP que d’une cité qui va mal parce que ses habitants s’y sentent abandonnés. Aujourd’hui qu’on prétend donner à l’école un rôle majeur, qu’elle semble devoir tout pouvoir, tout construire, intéressons-nous au cinéma qui dit aussi parfois l’échec de l’école comme de la société. Pour cela, deux œuvres seront mises en parallèles : L’Heure de la sortie (Sébastien Marnier, 2018) et Fracture (Alain Tasma, 2010).
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Lorsqu’on fait le bilan de la dernière décennie, certaines actrices ont marqué de leur empreinte le cinéma des années 2010. En y regardant de plus près, grâce à ses multiples rôles iconiques ou même par sa capacité à hypnotiser l’écran de sa présence, Rooney Mara fait, à coup sûr, partie de ces nouveaux visages qui vont continuer à rayonner et à oeuvrer pour le septième art.