« L’année prochaine » est un film sensible et agréable à voir sur la fin de l’innocence, un sujet toujours intrigant...
Critiques films
Critiques et analyses des films à l’affiche, les dernières sorties cinéma critiquées par nos chroniqueurs.
Le parcours de chaque personnage, réduit sur 24 heures, passe par des moments aussi émouvants que prévisibles. Mais, si la fin de leur journée n’est pas forcément celle que l’on ne s’était pas empêcher de prédire...
Maggie dispose d’un charme indéniable et soulève des interrogations pertinentes et passionnantes si on s’intéresse avant tout à la fonction symbolique de l’œuvre...
Un Prophète est un film étouffant où, s'il reste un peu d'espoir, il n'y a plus aucune illusion sur le genre humain. Pourtant, c'est bien de l'humanité qu'on y parle, violemment, crûment pour rappeler que nos restons des animaux n'ayant pour but que la survie.
Démoli par la critique à Cannes, est-ce-que le Marguerite et Julien de Valérie Donzelli vaut vraiment tout cet acharnement de la presse française ?
Cette chronique indienne peut apparaître difficile du fait d’une violence manifeste, mais Kanu Behl a réussi à dépasser les clichés de Bollywood et offrir un film intelligent, sensible et universel.
Le personnage central est incarné par Sasson Gabbai. Son interprétation de Jafaar, personnage d'esprit et de convictions, est tout bonnement géniale. Les personnages secondaires ne sont non plus en reste. Le scénario allie un contexte de tension politique à des situations coquasses.
Tomorrowland est un bon film car même s'il a beaucoup de défauts, c'est un long métrage rêveur, généreux et quelque peu naïf (dans le bon sens du terme), une véritable déclaration d'amour au cinéma de notre enfance et qui d'une certaine manière nous émerveille pour cela.
Pour un seul de mes deux yeux, un documentaire sur le conflit israélo-palestinien, ici, le cinéaste s'interroge (et interroge le spectateur et son peuple) sur deux mythes israéliens, Samson et Massada
Etouffant de réalisme, précis dans son sujet, parfaitement incarné par Vincent Lindon, La Loi du marché s’impose comme un outsider idéal dans le palmarès cannois.
Attendu comme le messie, George Miller livre le dernier chapitre d'une des plus belles pages du cinéma: Mad Max, Fury Road. Film de tous les excès et de tous les superlatifs, il rentre dans l'histoire et marque la réconciliation du cinéma exigeant avec le divertissement.
Grâce à la révélation Rod Parisot et à un certain travail de documentation, le film d'Emmanuelle Bercot semble doté d'une remarquable sincérité. Mais dès lors que l'on prend conscience de la redondance du scénario et la consensualité politique du propos, La tête Haute ne peut que décevoir.