Philippe Thirault et Thomas Verguet publient aux éditions Glénat une bande dessinée dédiée au Pape Pie VII et aux relations conflictuelles qu'il entretenait avec Napoléon Bonaparte.
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Chroniques d’actualités littéraires, recensions de romans classiques, évocations d’essais, analyses des influences croisées entre le cinéma et la littérature, bandes dessinées : découvrez nos articles portant sur le monde de l’édition.
Dans la collection « Cahiers libres », aux éditions La Découverte, paraît l'essai Sur les dents, du journaliste Olivier Cyran. Incisives, canines et molaires y apparaissent comme un marqueur social, dans leur dimension politique, mais aussi à travers la manière dont elles sont prises en charge par les professionnels de la santé.
Florence Arié et Alain Korkos décryptent quelque 130 films, du plus hagiographique au plus contestataire, pour en extraire la manière dont l'Amérique se raconte sur grand écran, entre mythification et démystification.
Collaborateur de la revue Positif et chroniqueur littéraire pour CineChronicle, Jacques Demange évoque dans son dernier ouvrage la question du regard dans le cinéma antonionien, en s'appuyant sur les concepts de "regard-sismographe" et de "regard-existence". Son évocation de l'œuvre de Michelangelo Antonioni est à la fois rigoureuse et originale.
L'éditeur français emblématique de l'univers Dragon Ball propose un second « super livre » consacré cette fois à l'animation. L'occasion de revenir sur les étapes itinérantes de Son Goku et ses amis, face à des adversaires aux armes de mieux en mieux fourbies.
La collection "Mirages" des éditions Delcourt accueille Sans panique, de Coline Hégron. Récompensée en 2021 par le prix "Jeunes talents" au FIBD d'Angoulême, la jeune scénariste et dessinatrice intrigue et déroute le lecteur avec un récit sans ligne directrice claire et nappé de poésie.
Les éditions Glénat publient Albert Londres doit disparaître, de Frédéric Kinder et Borris. Les deux bédéistes y mettent en vignettes la fin tragique d'un journaliste devenu légendaire, en imaginant un complot visant sa personne.
Les éditions Glénat publient Goya, le Terrible Sublime, d'El Torres et Fran Galan. Les auteurs y prennent le parti de faire dialoguer génie et folie, comme si les fantômes qui ont longtemps hanté Goya étaient inhérents à sa créativité débordante (à moins que ce ne soit l'inverse). Les relations du peintre avec la duchesse d’Alba se trouvent également en bonne place dans l'album.
Cet autoportrait collectif des scénaristes de cinéma renferme une dualité parfois déconcertante. Si les auteurs sont passionnés par leur métier, ils éprouvent souvent les pires difficultés à joindre les deux bouts, mènent plusieurs projets de front par nécessité et souffrent d'un manque de reconnaissance et d'un statut précaire. Bienvenue au coeur d'une étape cruciale dans la construction et le lancement d'un film, parmi les petites mains du cinéma rarement mises à l'honneur...
Directeur de recherche au Centre Roland Mousnier, Olivier Grenouilleau est un spécialiste de l'histoire des traites. Dans l'ouvrage Qu'est-ce que l'esclavage ?, publié dans la collection « Folio Histoire », il cherche à définir l'esclavage, à déterminer ses principaux traits constitutifs, tout en revenant abondamment sur les rapports de ceux qu'il qualifie d'« hommes-frontières » avec leurs maîtres.
Le Mag du Ciné a décidé de se pencher sur un métier peu connu du grand public : l'attaché de presse, et plus spécifiquement celui dont l'activité est directement liée au monde de l'édition.
Nous avons décidé de soumettre plusieurs professionnels, venus d'horizons divers, dotés de statuts différents, à un même questionnaire. L'objectif ? Effeuiller le métier en laissant à ceux qui l'exercent au quotidien le soin de verbaliser leurs ressentis et leurs expériences. C'est Antoine Bertrand, attaché de presse indépendant travaillant pour des éditeurs tels que Lux, La Fabrique ou Anamosa, qui inaugure ce cycle d'interviews.
Les éditions Flammarion publient une biographie-fleuve d'Adolf Hitler, sous-titrée « Le Monde sinon rien ». Brendan Simms y fond certains traits constitutifs du Führer et de ses organisations appariées, déjà largement commentés par ses confrères, mais décentre légèrement sa réflexion pour démontrer à quel point le monde anglo-américain l'obsédait et pourquoi le volk allemand faisait chez lui l'objet d'autant de circonspection que d'idéalisation.