CineSeriesMag vous propose un petit éclairage sur un livre croustillant de Jean-Sébastien Leroux, Les petites curiosités du cinéma, qui offrira aux cinéphiles les plus avisés, quelques anecdotes amusantes et particulièrement divertissantes, sur le monde du cinéma.
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Chroniques d’actualités littéraires, recensions de romans classiques, évocations d’essais, analyses des influences croisées entre le cinéma et la littérature, bandes dessinées : découvrez nos articles portant sur le monde de l’édition.
Frédérick Wiseman, à l'écoute, ou la plongée dans la méthode de travail de l'un des plus éminents réalisateurs de documentaires américain, qui administre une véritable leçon de cinéma et s'attaque aux idées reçues concernant son domaine d'exercice.
Ce n’est pas un livre sur Tommy Wiseau, dont l'aura survit paradoxalement au livre dans la mesure ou elle se nourrit sur les ruines de ses accomplissements, ni même la chronique d'un tournage catastrophe. C'est une introspection déguisée, où l'auteur essaie de mettre son propre masochisme en abyme. Nul doute qu'il n'en a pas fini avec les questions posées ici...
Une vingtaine de rédacteurs placés sous la direction de Pascal Alex Vincent, spécialiste du cinéma japonais qui a diffusé en France de nombreux classiques du 7ème art nippon, ont été nécessaires pour nous donner ce très beau Dictionnaire du Cinéma Japonais, édité par Carlotta. Un outil indispensable aux cinéphiles avides de découvertes.
Après Christopher Nolan, Michael Mann et Hayao Myazaki, la maison d'édition Playlist Society s'est penchée sur le cas des frères Scott : Tony et Ridley. Deux cinéastes, a priori aux antipodes, qui sous la plume affutée et structurée de Marc Moquin, se rapprochent et possèdent même nombre de liens et thèmes communs. Un bien bel exercice, à la fois passionnant, réfléchi & mature qui ne donne qu'envie de redécouvrir les filmographies de ces deux monstres sacrés du cinéma !
L'excellente maison d'édition Playlist Society revient avec un ouvrage sur Henri-François Imbert dans lequel elle décortique ses œuvres au travers d'analyses thématiques et d'un entretien avec le cinéaste lui-même.
Avec des films comme Cible émouvante, Les Apprentis ou Comme elle respire, avec ses neuf nominations aux Césars 2019 pour En Liberté !, Pierre Salvadori redonne ses lettres de noblesse à la comédie française. Le livre, édité chez Playlist Society, donne un aperçu des qualités, du talent et du travail du réalisateur.
Est-ce une analyse ? un effeuillage ? une mise à nu ? Avec « Tout Truffaut », l'auteure et universitaire Anne Gillain, dont c'est le troisième ouvrage consacré au cinéaste, se penche une nouvelle fois, avec un regard clinique, sur l'oeuvre de François Truffaut, dont elle livre une exégèse si pas parfaite, au moins indispensable.
Cet autoportrait collectif des scénaristes de cinéma renferme une dualité parfois déconcertante. Si les auteurs sont passionnés par leur métier, ils éprouvent souvent les pires difficultés à joindre les deux bouts, mènent plusieurs projets de front par nécessité et souffrent d'un manque de reconnaissance et d'un statut précaire. Bienvenue au coeur d'une étape cruciale dans la construction et le lancement d'un film, parmi les petites mains du cinéma rarement mises à l'honneur...
"Viva Cinecittà !" est une déclaration d'amour au cinéma italien. C'est aussi l'occasion de découvrir, par le menu, douze de ses plus illustres représentants. L'historien du cinéma Philippe d'Hugues nous propose un ouvrage passionné et passionnant, aussi dense que plaisant.
Dans Un monde parfait selon Ghibli, Alexandre Mathis décrypte les rouages d'une machine bien huilée, d'un macrocosme artistique, d'un empire dont le départ de ses deux maîtres, Hayao Miyazaki et Isao Takahata, semble tragiquement pousser vers le déclin.
Gallimard publie un recueil d'articles et de critiques de François Truffaut, présenté par Bernard Bastide. Les obsessions du futur héraut de la Nouvelle Vague y sont mises à nue, tandis qu'affleure une passion communicative pour Hitchcock, Bresson, Hawks ou Rossellini. Le festival de Cannes, les critiques français et Michel Audiard subissent quant à eux la formule courroucée et ironique tellement caractéristique du réalisateur des "400 coups".