critique-assassination-nation-sam-levinson
En 2018, la ville de Salem est de nouveau la proie d'une chasse aux sorcières, sauf qu'aujourd'hui elles n'envoient plus des sortilèges mais des "nudes". Avec Assassination Nation, Sam Levinson attaque de manière frontale la bonne vieille morale américaine en racontant l'histoire de 4 amies prises dans la tourmente après un "leak" ayant touché l'entièreté de la ville. Un film peu subtil mais absolument électrisant.
carte-blanche-euphoria-sam-levinson
Sam Levinson continue, dans Euphoria, de rendre compte de l'état malade d'une génération marquée par la nervosité d'une souffrance rance et l'intensité d'un besoin d'amour inconditionnel. Sous l'amas de paillettes sublimes, attend patiemment la plus solaire des noirceurs...
euphoria-critique-serie-saison-1
Après son petit pamphlet adolescent contre l’Amérique et la masculinité toxique, Assassination Nation, Sam Levinson revient cette fois-ci avec la série Euphoria, série « teen » qui analyse de près comme de loin les errements et les démons d’une jeunesse américaine en pleine phase de (dé)construction. Et c’est une réussite : on avait pas vu meilleure série « adolescente » depuis la première génération de Skins. 
eaux-profondes-adrian-lyne-ben-affleck-ana-de-armas-amazon-prime-2022
Renouant avec la veine du thriller érotique qui l’a rendu célèbre, Adrian Lyne en livre une version atone et à peine incarnée, notamment par un Ben Affleck complètement sorti de sa zone de confort. Eaux profondes est le premier film érotique produit par Disney (via 20th Century Studios) depuis un autre fameux navet, Color of Night, en 1994. Espérons que ce soit le dernier.
pifff-2018-programmation
Le PIFFF sera de retour au Max Linder du 4 au 9 décembre pour sa huitième édition. L'occasion de faire le point sur une programmation qui s'annonce alléchante entre films très attendus comme Assassination Nation ou Lords of Chaos et séances cultes un peu oubliées avec Vorace et Halloween 3.
Diogene - Leonardo Barbuy La Torre - Critique
Le premier long-métrage de Leonardo Barbuy La Torre, Diógenes, opte pour le noir et blanc. Contrairement à d'autres exemples discutables, cette décision semble être une partie intégrante de la vision artistique du réalisateur. Par le biais de cette esthétique monochromatique, Barbuy La Torre explore des thématiques complexes telles que la transmission, la responsabilité et la mortalité de manière visuellement frappante.