Alors que chacun reprend sa routine quotidienne avec cette rentrée 2020, l'odeur de vacances n'est pas encore si lointaine. Encore grisée par le soleil, la rédaction du Magduciné liste quelques films où le lieu qu'est la plage prend alors toute son importance.
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les dents de la mer
A partir d'aujourd'hui, Le Magduciné vous propose un nouveau rendez vous : celui des "cinéphiles du dimanche". Une fois par mois, quelques uns de nos rédacteurs vont se réunir pour disserter, analyser et vous faire part d'une petite sélection de films vus ou revus dernièrement. Pour ce mois d'aout, entre canicule et petite pluie bienveillante, on vous parle de joyeusetés comme Les Dents de la mer, la trilogie Fantômas ou même de Témoin à charge. Bonne lecture à tous.
C'est le 20 juin 1975 que les Américains découvrent en salles "Les Dents de la Mer" mais aussi son réalisateur qui vont connaitre tous deux un immense succès critique et public. L'article revient sur la conception et le tournage du film chaotique mais également sur sa réception spectaculaire.
La rétrospective Spielberg continue avec le second film qui se trouve être déjà un chef d'oeuvre qui a bouleversé l'histoire du cinéma : Les Dents de la Mer, sorti il y a tout juste 43 ans.
Le duo de réalisateurs à l’origine du retour de la mythique saga "Scream", avec les épisodes cinq et six, a passé la main sur le prochain pour nous livrer cette petite série B à la proposition plutôt originale dans le domaine rebattu du film de vampires. Ludiques et mystérieuses, les prémisses de "Abigail" nous amusent et nous intriguent. En mixant plusieurs influences du fantastique ainsi que différents genres, leur film parvient à nous captiver la plupart du temps. Mais plus il avance et plus la menace est claire, plus le long-métrage rentre dans le rang du banal et de l’attendu quitte à même traîner en longueur dans un final à rallonge inutile et fatiguant. On passe tout de même un moment sympathique si on aime les effusions gores à la fois excessives et grand-guignolesques mais rigolotes et qu’on n’attend pas forcément le grand frisson, tout cela restant parfaitement distrayant dans le genre.
Plus de trente ans après "Danse avec les loups", Kevin Costner a monté les marches cannoises pour introduire le premier chapitre de son "Horizon : une saga américaine", un western ambitieux sur la conquête de l’Ouest américain. Si le film nous offre des paysages magnifiques, il se perd dans l’exposition fastidieuse, très lente et étirée, d’un panel d’intrigues entremêlées. Espérons que le second volet corrige le tir de cette course au colonialisme lancée au ralenti. Et pas franchement palpitante.
Premier long-métrage de la réalisatrice marocaine Asmae El Moudir, La Mère de tous les mensonges explore le passé douloureux du Maroc à travers une enquête familiale ouvrant sur une reconstitution minutieuse des lieux, qui deviennent alors le terreau fertile des souvenirs et de la parole. Un documentaire où l’intime et le politique se nouent de façon passionnante.
Se faire pousser des ailes, c’est ce qui a permis aux volailles d’un élevage dictatorial de gagner leur liberté dans Chicken Run. L’appétit vorace des humains écourte pourtant cette douce utopie et une nouvelle confrontation semble inévitable. Les poulets contre-attaquent de nouveau et ça se passe sur Netflix ! Que reste-t-il de cette vigueur 23 ans après la célébration du premier opus ?
Pour cette première journée du FIFAM, plusieurs courts-métrages sont présentés dont ceux des réalisateurs présents pour débattre après la séance : Samir Ramdani (Daw) et Sarah Bouzi (Ne Pleure pas Halima). Retour sur une sélection de courts métrages engagés au corps à corps avec des représentations plastiques et politiques affirmées.
Retour sur plusieurs sorties récentes. Au programme : Conan le Cimmérien, Les 5 Terres : Tomber vraiment et Dans le magasin des mamans j'aurais choisi toi.
Déjà présent auparavant, c'est durant le nouvel Hollywood que la demi-bonnette a trouvé son plein essor. Tout sauf un hasard, tant sa capacité de multiplier les points de vue permet de refléter la paranoïa omniprésente de cette période du cinéma américain.
Rencontre avec Alice Diop à l’occasion de l’avant-première de Saint Omer, sa première fiction multiprimée et inspirée de l’affaire Kabou, qui met en scène le procès de Laurence Coly, une mère accusée d’infanticide.