Un bijou de comédie qui joue avec les genres et réunit quatre comédiens au sommet de leur art : Jack Lemmon intarissable, Marilyn Monroe inconsolable, Tony Curtis insaisissable et Joseph Evans Brown inénarrable.
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billy wilder
Réalisé entre La Garçonnière et Irma la douce, Un, deux, trois n'est pas le film le plus célèbre de Billy Wilder. Sa sortie en DVD et Blu-ray aux éditions Rimini permet de réparer cette injustice et de faire découvrir un film hilarant au rythme impressionnant.
Le critique de cinéma Emmanuel Burdeau nous livre Billy Wilder en plan d'ensemble. Un plan d'ensemble lui-même composé de multiples inserts : sur les rapports du cinéaste au mouvement, à la mort, à la musique, à la langue, à l'histoire, à Lubitsch, mais aussi à la gravité, qui prête son nom à l'ouvrage. Une étude minutieuse où le sens - des images, des propos, des objets - n'apparaît souvent que par agglomération(s).
Avant le tapis rouge de Cannes, Le Mag du Ciné revient sur les meilleures Palmes d'or du Festival. Arrêtons nous aujourd'hui sur le film le plus sensible de Billy Wilder, qui traite le premier de l'alcoolisme comme d'une véritable maladie : Le Poison.
Par son scénario, par son utilisation du décor urbain comme projection de la psychologie de ses personnages, par ses dialogues ciselés, par sa magnifique mise en scène héritée de l'expressionnisme et par son couple principal, Assurance sur le mort est devenu non seulement un des grands classiques du cinéma hollywoodien, mais une référence en matière de film noir.
Sa diffusion sur TCM est l'occasion de (re)découvrir ce film introuvable, que Billy Wilder considérait lui-même comme sa meilleure réalisation, et surtout une vision effrayante du métier de journaliste comme manipulateur des instincts primaires de leur public. Un échec commercial que Wilder eut du mal à avaler.
Il est cinéaste, graphiste, illustrateur, consultant visuel, créateur de logos, storyboarder. Il a collaboré avec Otto Preminger, Alfred Hitchcock, Martin Scorsese, Billy Wilder, Carol Reed, Stanley Kubrick ou William Wyler. Il est surtout célèbre pour avoir révolutionné le générique de film.
Pendant cette période de confinement, la rédaction du Magduciné vous conseille une petite liste de films à (re)voir. Allant du magnétique Jackie de Pablo Larraín à la comédie Embrasse-moi, idiot ! de Billy Wilder, jusqu'au sublime Le Dernier des hommes de Friedrich-Wilhelm Murnau, vous avez de quoi faire.
Le film fut un échec commercial et Billy Wilder s'en voulut, mais force est de constater que Avanti ! est un petit régal, une comédie romantique qui nous fait découvrir les charmes d'une Italie aux plaisirs irrésistibles, aux côtés d'un inimitable Jack Lemmon (qui reçut un Golden Globe pour ce rôle) et de la méconnue mais remarquable Juliet Mills.
Durant ce mois de janvier, Le Mag du Ciné se penche sur les représentations du mal au cinéma. Par sa récurrence, les tragédies qu'elle porte en son sein et les multiples figurations qu'elle supporte, l'addiction s'est imposée presque naturellement. Son évocation nous mène du "Lost Weekend" de Billy Wilder à "Trainspotting", "Requiem for a Dream" ou "Breaking Bad".
Billy Wilder met sa science de l'image au service d'un film mémorable, mais quelque peu moralisateur : "Le Poison" raconte les déboires alcoolisés d'un écrivain raté et restitue à merveille les années 1940, via leurs villes, leurs us ou encore sa représentation des femmes. Rimini ressort le film, oscarisé et couronné à Cannes, en HD.
Les escaliers ont de multiples fonctions au cinéma : ils servent à caractériser des personnages, à donner corps à des univers singuliers, à créer du suspense, à reformater la dynamique d'une scène, à rendre opérantes des prises de vues acrobatiques. Alfred Hitchcock, Brian De Palma ou Billy Wilder ont d'ailleurs exploité le motif à foison - jusqu'à devenir représentatifs d'une obsession peu commune.